Les représentants du G7 à Brindisi ne sont pas nos invités les plus appréciés.

Les représentants du G7 à Brindisi ne sont pas nos invités les plus appréciés.
Les représentants du G7 à Brindisi ne sont pas nos invités les plus appréciés.

La “table de coordination NOG7” de Brindisi invite les associations, mouvements, citoyens à participer à une réunion le jeudi 23 mai à 17h30 au siège de Cobas à Viale Commenda 74 pour organiser ensemble le contre-dîner que nous avons appelé…Le dîner des pauvres “Ils sont les premiers, nous sommes les derniers.”

La “Table de coordination NOG7” confirme quant à elle qu’elle sera sur la place de Brindisi le 13 juin à l’occasion du dîner inaugural au château souabe et le 15 juin lors d’une procession à Fasano.

La « Table de Coordination NOG7 » (instance qui rassemble des associations, des mouvements, des syndicats de base, des citoyens individuels au niveau national) conteste avec force les politiques de ces pays qui nous conduisent à une guerre mondiale et à une économie de guerre qui coupe déjà ressources pour les soins de santé, les services sociaux, le monde du travail et bien plus encore.

Nous assistons à de nouvelles voies de militarisation des territoires, comme à Brindisi où l’Autorité Portuaire a déjà accordé 500 mètres de quai pour accueillir en permanence le nouveau porte-avions “Trieste”.

Pendant les trois jours du G7 à Fasano, la « Table de Coordination NoG7 » organise des réunions et des discussions sur les sujets qui seront abordés à Borgo Egnazia, dont le contenu est devenu les protestations qui traversent la planète ; des guerres et de leur utilisation pour réaffirmer la supériorité économique des États-Unis avec le soutien de l’OTAN, au soutien à Israël, à la fausse lutte contre le changement climatique qui nous prépare maintenant à un nouveau désastre, à la lutte contre les pauvres en élevant des murs partout, à une multiplication des produits chimiques et des OGM pour leurs profits et leurs graves dommages à la santé.

En particulier, l’OTAN et les ministres européens parlent d’un retour au service militaire obligatoire parce que… les prochaines guerres ont besoin de millions de soldats, la technologie ne suffit pas ; bref, il nous faut de la chair à canon.

Ils ont déjà calculé que le réarmement mondial à lui seul vaut immédiatement 10 000 milliards de dollars, ce qui signifie en Italie la suppression des soins de santé, de l’éducation, des services sociaux, etc.

Face à tout cela, on ne peut comprendre l’enthousiasme des administrations locales quant à la possibilité d’accueillir des événements qui, d’une manière ou d’une autre, apportent le malheur à la planète entière.

Brindisi 22.05.2024

Pour la « Table de coordination sans G7 » Brindisi – Roberto Aprile, Ciccio Lussone, Cosimo Quaranta

PREV NipPop 2024, trois jours de mots et de formes de Tokyo à Bologne – Émilie-Romagne
NEXT Le plan directeur pour les arbres à Rome