Observatoire Dga Campania : « Le phénomène du jeu pathologique doit être gouverné »

Observatoire Dga Campania : « Le phénomène du jeu pathologique doit être gouverné »
Observatoire Dga Campania : « Le phénomène du jeu pathologique doit être gouverné »

A l’occasion du No Gambling Day qui a lieu aujourd’hui 22 mai, l’Observatoire Régional des Troubles du Jeu (Dga) présente ses activités en Salle ‘F. De Sanctis’ au siège du conseil régional de Campanie.

Écrit par CC

Naples: à l’occasion de No Gambling Day, une journée dédiée par la Région Campanie sensibiliser et sensibiliser aux risques et dommages liés au phénomène des jeux de hasard La conférence de presse de présentation des activités de l’Observatoire régional des troubles du jeu (DGA) a lieu aujourd’hui, 22 mai, dans la Sala F. De Sanctis au siège du Conseil régional de Campanie. À Présenter les travaux sont Gennaro Sosto, président de Federsanità Aci Campania : “Aujourd’hui est le jour choisi pour lequel la nation se consacre à un message important qui, à la lumière de la règle de la loi régionale numéro 2. Cette dernière a déjà produit une série de mesures, notamment celle de la création d’un observatoire né autour d’un il y’a un an. En fait, les chiffres nous donnent des indications et des messages très importants. »

La pathologie du jeu – faits saillants Sosto – est devenu l’un des thèmes à suivre pour la Région Campanie et il y a des études, présentées par l’observatoire après cette première année, ce qui donne le sentiment de la nécessité d’avoir l’attention que la région a montrée avec la loi régionale numéro 2 et pour laquelle elle a progressé avec de grands investissements. J’ai abordé le sujet ces derniers mois avec des initiatives que nous avons menées dans l’entreprise de santé de Salerne et avec des protocoles d’accord avec des acteurs d’importance internationale qui ont sensibilisé la population de Salerne à l’importance du jeu.”

« Ce qui m’a le plus frappé, c’est que la collecte à l’échelle nationale atteint un chiffre supérieur à celui des dépenses de santé. Nous avons des données de collecte approchant les 136 milliards. D’où la nécessité d’avoir des interactions sur ce qui est un phénomène ou une pathologie comme le trouble du jeu qui touche aujourd’hui 15 000 personnes en Italie et environ 3 300 rien qu’en Campanie. Un phénomène qu’il faut apprendre à gouverner. D’où l’interaction avec les acteurs, les associations, les acteurs locaux et les organismes de santé grâce à l’aide et à l’intensité avec laquelle la Région travaille. À Salerne, il existe une structure qui héberge une intensité particulière sur les troubles du jeu. »

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