Avenir de l’eau, Baccelli et Mercanti : « La Commune travaille sur des solutions véritablement viables »

Avenir de l’eau, Baccelli et Mercanti : « La Commune travaille sur des solutions véritablement viables »
Avenir de l’eau, Baccelli et Mercanti : « La Commune travaille sur des solutions véritablement viables »

« Le temps presse, la municipalité de Lucques doit travailler sur des solutions vraiment viables ». Le conseiller aussi Stefano Baccelli et le conseiller régional Valentina Mercanti sur l’avenir du service de l’eau.

« Nous avons suivi avec intérêt le débat qui s’est développé à Lucques ces derniers mois sur le thème de l’avenir du service intégré de l’eau après l’expiration de la concession Geal qui aura lieu à la fin de 2025 – disent Baccelli et Mercanti -. La loi prévoit que 18 mois avant ce moment (donc dans quelques semaines), l’Autorité toscane des eaux (Ait) doit entamer les démarches de reprise du responsable de zone, Gaia spa une entreprise entièrement publique, sur notre territoire. Il est donc extrêmement urgent pour la municipalité de Lucques d’entamer des négociations serrées avec les communes membres de Gaia afin que cette transition se déroule de manière à maximiser les intérêts des citoyens et des entreprises de Lucques qui, nous tenons à vous le rappeler, sont ceux de maintenir un niveau tarifaire adéquat et de négocier les investissements à réaliser (en particulier l’achèvement du système d’égouts de l’Oltreserchio, en particulier après la construction du raccordement Nozzano – Pontetetto par l’ancienne administration de centre-gauche) ».

« Notamment celui de veiller à ce que les grandes compétences professionnelles des employés de Geal, qui ont permis de fournir un excellent service au cours de ces 30 années, prises comme exemple dans le panorama national, soient valorisées de manière adéquate également dans la nouvelle configuration de l’entreprise dont – il convient de le préciser – la Commune de Lucques sera l’actionnaire de référence – poursuivent-ils -. De notre point de vue en tant que représentants de l’administration régionale de Lucques, nous considérons donc absolument essentiel que l’administration Pardini aborde cette échéance avec un grand sens des responsabilités, mais aussi avec la conscience que notre territoire – l’un des bassins hydrographiques les plus importants du la Toscane, qui contribue aux besoins de la moitié de la Toscane côtière, a de nombreuses cartes à jouer pour peser sa pertinence et sa centralité sur les tables régionales”.

« Nous avons plutôt lu que le maire serait prêt à s’engager dans une voie, celle de la continuation de la concession Geal par l’application de l’art. 147 alinéa 2 bis de la loi consolidée de l’annéeenvironnement ce qui ne semble cependant pas applicable au cas présent puisqu’il s’agit d’une réglementation destinée aux très petites communes de montagne dans lesquelles les besoins en eau sont pleinement satisfaits par des sources de haute qualité situées dans des parcs naturels ou des zones protégées et qui, surtout, ne disposent pas la nécessité de gros investissements (car le service est déjà géré de manière « efficace ») peut continuer à gérer le service de manière autonome, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas à Lucques car le service est déjà fourni aujourd’hui à travers un spa public/privé. En outre, l’applicabilité de la loi en question, même pour les communes qui, contrairement à Lucca, répondraient aux exigences établies, est caduque depuis près de deux ans en raison d’une modification apportée par le gouvernement Draghi”.

« C’est pourquoi, sans préjudice de l’évidente autonomie des administrateurs municipaux dans la poursuite des choix qu’ils jugent les plus appropriés, également en raison de notre rôle, nous nous permettons de suggérer au maire Pardini qu’il enquête également, mais rapidement, sur sa proposition qui, comme nous Comme nous l’avons amplement motivé ci-dessus, cela paraît irréaliste – comme l’a récemment déclaré publiquement le directeur de l’Ait, l’organisme qui a le dernier mot sur la faisabilité de cette opération – et le résultat d’un stratagème politico-communicatif plutôt que d’une démarche administrative réaliste. proposition, mais sans perdre un temps précieux et une opportunité concrète au risque de causer des dommages à la région de Lucques -. Il est en effet facile d’imaginer que si nous entrions dans Gaia après avoir épuisé toutes les options et sans négociations ou sans négociations tardives, les tarifs augmenteraient immédiatement et nous n’aurions aucun travail prévu à partir de 2026″.

« Nous pensons cependant que Lucques mérite d’être représentée de manière adéquate, en raison de son importance stratégique, au sein du directeur régional qui, selon les lois en vigueur à ce jour, est Gaia : c’est-à-dire une entreprise entièrement publique dont le seul objectif n’est pas profit ou dividendes, mais la maximisation de la valeur sociale de la principale ressource de notre territoire : l’eau, bien commun par définition.
La municipalité de Lucca possède toutes les caractéristiques pour influencer positivement la gestion de Gaia également dans les aspects qui doivent encore être améliorés grâce à sa gestion et à ses infrastructures qui seront confiées au nouveau gestionnaire et surtout, grâce au poids politique qui découle de la situation géographique de la ressource en eau – conclut-il -. En tant qu’administrateurs régionaux, nous sommes disponiblesà condition de suivre des voies véritablement viables, pour aider, encourager et garantir ce processus en commençant par travailler à une réforme des zones qui surmonte l’erreur historique, résultat de calculs politiques à courte vue, de vouloir maintenir les municipalités de Lucques Plaine divisée ».

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