Arrivée de Terre Blu di Caserta, «La Princesse de Lampedusa» de Ruggero Cappuccio

Après les événements de Florence et de Milan ce mois-ci, « La Princesse de Lampedusa » revient en Campanie. Vendredi 24 mai prochain à 19h30 le roman de…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

  • tous les articles du site, également depuis l’application
  • Informations et newsletters exclusif
  • LE podcasts de nos signatures

– ou –

Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google

S’abonner

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

Après les événements de ce mois-ci à Florence et Milan, il revient à Campanie “La Princesse de Lampedusa”. Vendredi 24 mai prochain à 19h30 le roman de Ruggero Cappucciopublié par Feltrinelli et bientôt dans sa troisième édition, sera présenté au centre Terres bleues de Caserta. Dans l’espace de via San Nicola, lieu de production et de diffusion de la culture et de l’art contemporains, l’écrivain et réalisateur, finaliste du Strega en 2008 et lauréat du Prix Naples et du Prix Vittorini en 2011, rencontrera les lecteurs de Caserta pour dialoguer avec eux sur la modernité, le charisme et le courage de Béatrice Tasca Filangieri de Cutòla mère dle Giuseppe Tomasi de Lampedusaau centre du monde qui a inspiré les magnifiques pages du Léopard.

Avant le prince de Lampedusa, il y a en effet une princesse. Et Ruggero Cappuccio nous la présente à travers une histoire d’éros, de passions, de mystères et de secrets de famille. Nous redonner, avec le récit d’une histoire qui se déroule en mai 1943 dans une Palerme dévastée par les bombardements alliés, une figure féminine très fascinante et ses idéaux de liberté. Capable, alors qu’un monde disparaît et que le présent s’effondre dans un scénario de guerre, de regarder vers l’avenir à travers les yeux mélancoliques de son fils Giuseppe et la splendide vitalité d’Eugenia, une jeune femme à qui la princesse de Lampedusa enseignera le chemin de émancipation et conscience de sa propre valeur. Sachant pertinemment qu’« il faut avoir vécu au moins une expérience extraordinaire pour tolérer la normalité », mais aussi que « les duels entre l’amour et la douleur se terminent toujours par un match nul ».

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le matin

PREV occupation illégale à Bénévent. Double meurtre dans la région de Caserta
NEXT Le football entre branding territorial et géopolitique