Parolana, la nouvelle fresque de Kotè sur le droit à la liberté d’expression apparaît à Pastena

Sur le mur d’un immeuble au numéro 2 de via Michele Pizone, à l’angle de via Martiri Ungheresi, l’image d’une jeune femme a pris forme il y a quelques jours ; dans…

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Sur le mur d’un immeuble à numéro 2 de via Michele Pizone, au coin de via Martiri Ungheresi, l’image d’une jeune femme s’est dessinée il y a quelques jours ; il a une machine à écrire sur les genoux, il représente, il dit Antonio Cotecchia, nom de scène Koté, «le droit de chacun à exercer la liberté d’expression, mais aussi le droit à une information libre et pluraliste». L’artiste urbain a peint la nouvelle fresque murale à Pastena, le quartier où il est né, à deux pas des grands travaux, Filles du Temps Hors du Temps, construits en mars dernier à La tour et dédié à toutes les femmes au nom de Trotula, le célèbre médecin de la Schola de Salerne, icône de l’émancipation féminine. Koté a titré les récents travaux de régénération urbaine (il sera inauguré aujourd’hui à 18h) Parolana, de ‘Ô Parulan, un terme qui, dans la langue napolitaine, désigne les vendeurs ambulants qui annoncent bruyamment leurs produits. «Les parulani, dans leurs errances libres et perpétuelles dans les rues de Naples et de Salerne, ont fait bien plus – souligne le peintre – ils ont raconté des histoires et des anecdotes qui, grâce également à eux, ont été préservées au fil du temps et nous sont parvenues. My Parolana représente la personnification du désir des nouvelles générations de s’exprimer et de vivre dans une société où même les journalistes peuvent travailler librement et de manière indépendante. » La fresque de Salerne fait partie du Programme européen Street Art promu par la Représentation en Italie de la Commission européenne. Sept régions, administrations et associations italiennes ont été impliquées, dont Europe Direct Salerne. «Nous sommes heureux d’inaugurer la troisième fresque du projet – dit-il Massimo Pronio, responsable de la communication de la représentation de la Commission européenne en Italie – Avec ce travail, nous voulons sensibiliser les citoyens sur un sujet très important de l’actualité européenne, celui de la liberté de la presse. L’information représente un pilier fondamental de notre système démocratique. À l’heure où la liberté des médias est remise en question dans de nombreux pays du monde, l’Union européenne réitère son engagement à garantir une information libre, accessible et qualifiée, à lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles. » Le sketch présenté par Koté a été très apprécié.

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«Et ici, je tisse un dialogue idéal, mais aussi physique, avec tous les enfants qui ressentent le besoin d’exprimer leur opinion, leur opinion et aussi leur désaccord», déclare fièrement l’artiste de Salerne, également choisi pour la première étape de Eu Street. L’art à Aielli, un petit village des Abruzzes, où sa Futura qui tient le globe nous invite à prendre soin de la planète.

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