Forlì, un puzzle avec Trieste. Maintenant nous avons besoin du vrai Johnson

Forlì, un puzzle avec Trieste. Maintenant nous avons besoin du vrai Johnson
Forlì, un puzzle avec Trieste. Maintenant nous avons besoin du vrai Johnson

Xavier Johnson le voulait désespérément. Et de toute urgence. Pour tenter de prolonger la série contre Trieste et arriver au moins au match 4, Unieuro, parmi les nombreuses qualités qui lui manquent jusqu’à présent dans ces deux matchs et qu’il devrait retrouver (tout d’abord un excellent pourcentage de tirs à trois points), surtout a besoin d’un retour à des niveaux élevés de son seul Américain, après la blessure qui a exclu l’autre (Kadeem Allen) du match. A vrai dire, après la mauvaise journée du premier match, dans le deuxième match, l’« Américain » de l’équipe de Forlì était l’extraordinaire Federico Zampini, qui a réalisé un match pour le moins louable en termes de continuité de performance, de détermination et d’efficacité, et certainement pas l’ailier de Los Angeles.

Alors qu’en est-il de Johnson ? Après 10 points et 6 rebonds en 28 minutes à 2/10 au tir lors du premier épisode du match contre les Giulians, lors du deuxième match, l’ailier rouge et blanc s’en sort, si l’on veut, encore pire. Non seulement en termes de chiffres et de données statistiques – 6 points et 5 rebonds en 22′ avec 3/7 à deux points, 0/1 à trois points et 0/2 lancers francs – mais surtout en termes d’attitude, de concentration, de détermination. , en bref, un langage corporel qui ne ressemblait certainement pas à celui d’un joueur qui disputait les deux matchs du moment clé de la saison de Forlì, devant le public chaleureux et passionné des grandes occasions.

Nous avons appris après le match 1 que Xavier avait été victime d’un virus gastro-intestinal dans les jours précédant le premier match contre l’équipe Julian, soigné par perfusion intraveineuse, ce qui l’a certainement fragilisé au niveau des jambes, de l’énergie et de la réactivité. D’accord, mais qu’en est-il de la course 2 ? Et il n’y a aucun virus d’aucune sorte ici. Johnson a mal, très mal joué et ce lors des deux matchs les plus importants de la saison.

Non seulement il a mal tiré – cela peut arriver à n’importe quel joueur -, mais il a fait de mauvais choix de tir, il était lent, pas très rapide, encombrant, prévisible, sans compter les (5) fautes commises qui l’ont certainement fait jouer par à-coups et commence par des arrêts inévitables sur le banc sans lui permettre de trouver la continuité nécessaire, mais qui par contre ont été souvent insensés et certainement pas bien conseillés. La conséquence a été que Johnson est devenu nerveux et a essayé de le forcer, ce qui a entraîné des erreurs et causé des problèmes après les problèmes.

Demain à Trieste le numéro 11 d’Unieuro doit changer de vitesse et s’inscrire et essayer de donner un coup de main au splendide Zampini du match 2, au continu et utile Pascolo, à Pollone, sans alors considérer ce que sont les différents Cinciarini, Valentini, Magro et Radonjic . Contre les Giulians les chiffres, pour l’instant, condamnent Johnson sans appel : 8 points, 5,5 rebonds, 2 passes décisives et 3,3 turnovers en moyenne par match, en 25′ avec 35,7% sur deux, 0/4 sur trois et 60% sur la lunette . Des chiffres en forte baisse par rapport à la fois à ceux de la première phase et à ceux de la phase d’horloge ainsi qu’à ceux rapportés lors des quatre matchs de la série contre Vigevano.

Contre les Lombards, à part presque rien dans le premier match (6 points et 5 rebonds en 22′ à 3/9 du terrain), Johnson n’a pas failli du tout, au contraire, il a terminé avec 16 points et 8,5 rebonds en 29′ ‘, le 56ème % sur deux, un encore terrible 21% sur trois et 79% sur la ligne des fautes. Mais surtout il est entré sur le terrain avec une autre envie, une autre détermination et une autre attention. Celui dont, à l’exception de quelques performances notamment en début de championnat, il avait toujours fait preuve et qui, à côté de ses incontestables qualités techniques, lui a permis de clôturer la première phase avec 14 points et 6 rebonds en 28′ avec 46% sur deux, 35% sur trois et 77% sur la ligne de faute et le Watch avec 17 points et 5,8 rebonds en 30’ au tir 54% sur deux, 31% sur trois et 67% sur lancers francs. Ils ressemblent aux figurines d’un autre joueur. Ce que Forlì a absolument besoin de revoir s’il veut rejouer au moins une fois après le match 3.

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