Pasqualina Straface, maire de la coalition: «La Stasi a fait du masciat une loi occulte»

CORIGLIANO ROSSANO (CS) – «S’il y a quelqu’un qui a institutionnalisé le système du « masciate » et en a fait la loi occulte de cette ville, c’est bien Flavio Stasi. qui a transformé la Commune en un véritable guichet automatique au service des amis, des associations amicales et des amis des amis”.

C’est ce que rapporte le rapport Coalition pour le maire de Pasqualina Straface

«S’il y a quelqu’un qui a semé la terreur dans l’appareil municipal ces dernières années – exhorte le groupe politique – s’opposer à la diversité de pensée par tous les moyens et recherchant par tous les moyens tout employé ou fonctionnaire qui ne sympathise pas avec sa ligne, sa méthode administrative, ses revendications et même ses représailles, voici Flavio Stasi.”

Il suffirait de penser que «au lieu d’organiser des concours pour les managers et, par conséquent, rechercher le mérite, la qualité, l’efficacité et l’efficience, mérite qu’il n’a recherché dans aucune des initiatives, appels d’offres et missions qui l’ont toujours vu comme un véritable marionnettiste dans les coulisses, il s’est entouré uniquement et exclusivement de managers recrutés directement avec la procédure ex art. 110 afin de pouvoir contrôler et conditionner chaque respiration.”

La Coalition de soutien à Pasqualina Straface, maire de la ville de Corigliano-Rossano, la qualifie de « honteuse de rendre la paternité du comme toujours, des accusations démagogiques et populistes ont été criées lors de ses derniers rassemblements comme Masaniello”.

Et encore : « Chaque jour nous recevons des rivières et des fleuves de citoyens qui ils viennent dénoncer les massacres d’administrateurs qui promettent apparemment de fermer les yeux sur les dérives, petites et grandes, dans les bâtiments, qui semble garantir la guérison des irrégularités disgracieuses ou petites et moyennes et qui ils continueraient à confier des missions de petite et moyenne taille pour des travaux qui ne sont pas absolument urgents allant du nettoyage et de la restauration des façades à la reconstruction des grilles en fer forgé des places du centre historique complètement dégradées.”

Nous sommes confrontés à une « annonce un maire qui non seulement s’est aliéné les deux communautés en dilapidant les fonds destinés à consolider la fusion, qui non seulement n’a planifié ni ouvert aucun chantier pour un ouvrage majeur pour cette ville ; et pas seulement ça a effacé le nom de notre ville d’art de toutes les cartes historiques, architectural et touristique, mais qui a littéralement détruit les finances et la stabilité économique de la Commune.”

Outre « la guerre en Ukraine, la crise énergétique et d’autres catastrophes, le 8 millions de factures impayées, pour lesquelles la Préfecture a déjà adressé un avertissement à la Commune, découlent de l’irresponsabilité et de l’incapacité du gouvernement et du gaspillage de ressources destinées à d’autres fins, comme les plusieurs millions d’euros soustraits au paiement des factures et dépensés pour des concerts d’une heure. C’était et c’est la Stasi. Tout sauf une ville libre. »

Corigliano – Rossano est aujourd’hui «complètement hypothéqué par un budget municipal en ruine avec 130 millions en cinq ans de transferts totaux dont on ne sait pas comment ils ont été dépensés ; une diminution de la trésorerie qui est passée de 8 millions à un peu plus de 600 mille euros, une augmentation de la dette de 130% et avec trois paramètres de déficit certifiés qui placent le budget municipal dans un état d’avant-catastrophe. Une situation qui met chaque mois en péril le paiement des salaires des salariés. »

Tout l’argent destiné à la fusion «a été et continue d’être dilapidé jusqu’au bout, peut-être même à des fins électorales, comme le montrent le chiffre d’affaires important et les contributions tout aussi importantes apportées par l’exécutif de la Stasi au cours des dernières années, mois et jours aux propriétaires d’entreprises chargées d’emplois et d’associations, aujourd’hui candidats à la Stasi”.

Enfin: «Voici la révolution de la Stasi : celle des dettes, du gaspillage de l’argent public et de la machine municipale transformée en un système de pouvoir autoréférentiel et destructeur de tout espoir de croissance pour la Ville”.

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