enquête à la Citadelle avec 4 entreprises interdites

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enquête à la Citadelle avec 4 entreprises interdites

Les pannes continues, ces dernières années, des ascenseurs installés dans la nouvelle citadelle judiciaire ont évidemment mis en lumière les méthodes de…

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LE pannes continuesces dernières années, aux ascenseurs qui avaient été installés dans le nouvelle citadelle judiciaire ils ont évidemment mis l’accent sur les méthodes de fourniture de biens et de services. Et suite aux résultats des enquêtes, déléguées par le parquet de Salerne aux militaires de l’unité de police économique et financière du commandement provincial de la Guardia di Finanza et aux policiers de la police d’État, quatre mesures d’interdiction ont été prises contre l’interdiction de contracter avec l’administration publique pendant un an à autant d’entreprises (trois dans l’arrière-pays napolitain et une dans la province de Bari) qui opèrent dans le secteur de la construction de bâtiments résidentiels et de l’installation, de la réparation et de l’entretien d’ascenseurs.

Selon les dispositions du juge d’instruction du tribunal de Salerne, qui a accédé à la demande du parquet local (dirigé par procureur en chef Borrelli et par le député Cannavale), la mesure d’interdiction pour un an a atteint Spa Costruzioni Barozzi et Spa Passarelli (agents) appartenant au groupe d’entreprises qui a remporté le contrat pour la construction de la citadelle judiciaire (deuxième extrait), pour ne pas avoir adopté et, en tout cas, effectivement mis en œuvre, des modèles d’organisation et de gestion propres à empêcher les représentants légaux respectifs fournis biens différents (par leur nature, leur ordre, leur qualité et leurs performances) de ceux indiqués dans le cahier des charges et dans l’exécution des obligations découlant du contrat lui-même. Les deux autres entreprises visées par la mesure d’exclusion – toujours pour un an – sont les Euroascensori Service srl responsable de l’installation des systèmes et des Hacca Impianti srl chargé du service de maintenance des ascenseurs, qui n’aurait pas adopté et, en tout cas, mis en œuvre efficacement, des modèles d’organisation et de gestion propres à empêcher les représentants légaux respectifs de procéder à une installation incorrecte des systèmes et de ne pas effectuer les services de maintenance requis par le contracter .

L’enquête doit être soumise au contrôle du juge dans la suite de la procédure ainsi qu’à la mesure conservatoire dula disqualification est susceptible de faire appelcomme l’a déjà annoncé l’avocat de Costruzioni Barozzi. Du côté du ministère public, l’aspect important de la disposition est la forme spécifique de responsabilité administrative imputable aux entités dotées de la personnalité juridique dans le cadre de certains cas d’infractions commises dans l’intérêt ou au profit de l’entité elle-même, par des personnes exerçant des fonctions de surveillance. . de représentation, d’administration ou de gestion ou par des personnes soumises à la direction ou à la surveillance de l’un des sujets précités.

Mais des demandes de suspension pourraient être déposées dès aujourd’hui, comme l’a annoncé Vito Mormando, l’avocat de l’entreprise. Costruzioni Barozzi Spa (Cobar) d’Altamuraqui explique dans une note comment la disposition a suscité plus de tollé que nécessaire : « La mesure, en fait, fait référence à un manquement allégué de nature purement et exclusivement formelle. Par ailleurs, le magistrat lui-même, dans les documents, fait référence à un retard dans la mise à jour du modèle organisationnel. La disposition donc à caractère technique pourra être immédiatement suspendue avec l’acceptation de la demande de suspension que nous déposerons demain”, a annoncé le défenseur et explique que “selon l’accusation les entreprises n’auraient pas adopté et, en tout cas, effectivement mises en œuvre, toutes les procédures nécessaires pour empêcher la fourniture – et donc aussi l’utilisation – de biens d’un type différent de celui indiqué dans le marché public”, mais en tout cas – observe l’avocat de Cobar – l’entreprise “a déjà mandaté une expertise faisant autorité professionnel des études pour procéder à la mise à jour du formulaire 231 et l’a déjà communiqué au parquet de Salerne. Enfin, ce que je voudrais souligner, c’est que l’intervention du pouvoir judiciaire de Salerne se limite exclusivement à certaines des nombreuses activités de l’entreprise et n’affecte en aucune façon la gestion de Cobar spa”.

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