L’exposition est le résultat de l’engagement des participants à l’atelier annuel de dessin et de peinture.

L’exposition est le résultat de l’engagement des participants à l’atelier annuel de dessin et de peinture.
L’exposition est le résultat de l’engagement des participants à l’atelier annuel de dessin et de peinture.

ROVIGO – L’exposition « Souvenirs et art de réparer avec de l’or » fait partie de May Rodigino 2024, mise en place par l’association « La cour des Olivétains » dans l’ancien Nouveau marché aux poissons à Rovigo du 25 mai au 8 juin. Cette initiative offre au public le résultat de l’engagement des participants à l’édition annuelle atelier de dessin et de peinture, qui a développé cette année le thème de la régénération intellectuelle et émotionnelle, visant à guérir les traumatismes que tout être humain peut subir au cours de son existence.

jeudi 30 maitoujours dans l’ancienne Pescheria nuova, se déroule l’événement central de l’exposition qui voit, à 16h30, le discours du professeur Alessandra Grompi, professeur de Sciences Humaines et de Philosophie au lycée municipal Celio-Roccati, qui abordera le thème des blessures et de la guérison, suivi, à partir de 18h, d’une série de lectures scéniques par le groupe de dessin et de peinture, avec accompagnement musical de la flûte de Éléonora Magnabosco et le violoncelle de Béatrice Galasso.

La thématique développée par l’association La Cour des Olivétainsà travers ces initiatives, correspond à ce qui a été promu cette année par Mai Rodigino: le égalité des sexes. Avec le soutien de Mirella Boso, peintre avec une longue expérience en tant que professeur de “Techniques de peinture” dans les lycées artistiques de Castelmassa et Rovigo, qui dirige aujourd’hui les laboratoires artistiques de l’association, la technique du kintsugy a été adoptée pour recomposer, à travers l’expression artistique, intégrité originale.

Comme le précise le président de l’association, Maura Blanc, « Les institutions culturelles et artistiques peuvent être des sujets capables de suggérer des stratégies pour activer cette régénération intellectuelle et émotionnelle orientée vers des formes de respect, de protection, d’écoute et de dignité de l’être humain. Chaque blessure raconte une histoire qui mérite d’être racontée, rendant ainsi collectif un fait individuel à travers l’art, qui devient un instrument d’égalité qui facilite le dépassement des stéréotypes grâce à l’attention portée à ce qui est considéré comme différent”.

PREV Panne de courant la nuit au centre de santé du sud de Trente : voici ce qui s’est passé – Actualités
NEXT Le football entre branding territorial et géopolitique