Zone Ex Enichem : valorisation, protection sanitaire, développement durable. La feuille de route de la coalition de Di Staso comme maire

Zone Ex Enichem : valorisation, protection sanitaire, développement durable. La feuille de route de la coalition de Di Staso comme maire

Il y a quelques jours, j’étais invité au débat organisé par la “Casa della Salute” et sa représentante, le professeur Rosa Porcu, pour discuter des questions clés pour planifier la Manfredonia du futur.

Ce n’est pas un hasard si le premier sujet abordé dans notre PROGRAMME L’ÉLECTORAL est l’ENVIRONNEMENT et en son sein se trouve un chapitre entier sur le NETTOYAGE.

Je vous garantis que nous sommes parfaitement conscients de la dure réalité de nos SIN, notamment celle de l’EX-ENICHEM dans la zone de Macchia. Des aménagements douteux effectués sur le sol et le sous-sol, en oubliant l’AQUITURE. Le TUA (Décret Législatif Consolidé sur l’Environnement 152/06) est très clair : une zone est récupérée ou peut être considérée comme telle, si les trois composants, SOL, SOUS-SOL et SOL, contiennent des concentrations de polluants inférieures au CSC (contamination concentration seuil) autorisée par la loi. Qu’est-ce qui se cache dans l’AQUITURE qui est liée à la mer ?

Les données ne sont malheureusement pas très rassurantes, le dernier rapport MITE de 2022 rapporte l’aquifère comme “NON REMÉDIÉ” et il est inquiétant de ne pas connaître la quantité totale de polluants présents dans l’aquifère.

Toujours en continuité avec ce qui est contenu dans les orientations du programme électoral et dans le respect de ce qui est établi par notre jurisprudence, AUCUNE INITIATIVE INDUSTRIELLE NE POURRA PASSER INOBSERVÉE. J’en suis personnellement conscient grâce à l’intervention au Conseil contre le célèbre Seasif, dont l’installation a été évitée grâce à la ferme position d’opposition de l’administration dirigée par Gianni Rotice, qui a réussi, pour la première fois dans l’histoire, à établir un confrontation avec Eni-REWIND.

Très grande attention aux entreprises qui ont déjà obtenu des autorisations au niveau provincial pour traiter les déchets dans le SIN, comme “South Metal Corporation Srl”, avec jusqu’à 25.000 t/an de déchets traités, QUI A REPRIS L’ATELIER EX SIF Trade.

Enfin, une attention particulière à l’AGER impliquée dans ISLAND 12, déclarée récupérée par la Province de Foggia et l’ARPA en 2022. Cette dernière entend traiter entre 40 000 et 60 000 t/an de plastique provenant du territoire des Pouilles et au-delà. Naturellement, ce ne sera pas une tâche facile puisque, ne l’oublions pas, Manfredonia n’est pas invitée au CdS pour les implantations dans la zone EX-ENICHEM, car les interventions se déroulent dans la campagne de Monte Sant’Angelo.

Dernière observation, mais nous pourrions continuer à l’unisson, c’est la proposition de l’APPEA pour la gestion de la zone ex-ENICHEM, je rappelle à tous que lors de la réunion en salle du Conseil pour le 47ème anniversaire de l’explosion de la colonne d’arsenic, le Maire de MSA D’Arienzo, présent avec le Président de la Province et les dirigeants d’ENI-Rewind, a évalué la possibilité de les intégrer, un choix ensuite abandonné et écarté pour des raisons claires pour lui seul.

Cela ne nous démoralise pas, au contraire, nous savons qu’une action de grande envergure sera entreprise contre l’ASI, le seul organisme compétent, pour la régulation de cette zone. Nous travaillerons à revoir à la fois les réglementations d’implantation destinées aux entreprises à fort impact environnemental et nous porterons également une attention particulière au gaspillage des zones industrielles pour les SER qui, bien que peu impactants, ne génèrent pas d’emploi.

Avocat Vincenzo Di Staso

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