Bien-être, pacte entre les trois candidats à la mairie pour une administration partagée. Voici les engagements pris

Bien-être, pacte entre les trois candidats à la mairie pour une administration partagée. Voici les engagements pris
Bien-être, pacte entre les trois candidats à la mairie pour une administration partagée. Voici les engagements pris

FANO Une déclaration d’engagement en faveur des politiques sociales et Fano, on pourrait le définir comme le Pacte de Saint-Ours. Signé par les candidats à la mairie Cristian Fanesi (centre-gauche), Stefano Marchegiani (progressistes) et Luca Serfilippi (centre-droit) le document préparé par les associations du tiers secteur, avant-hier soir, lors du débat public promu par le Acli provinciaux dans la salle paroissiale-oratoire de Saint-Ours, remplie de 150 personnes.

Les points de l’accord

Mais à quoi ont souscrit exactement les trois candidats ? Tout d’abord, l’Acli et un groupe d’associations opérant dans le secteur social, qui ont élaboré le document, proposent de constituer “une délégation de conseillers avec un mandat spécifique sur le développement de l’administration partagée et des relations avec le tiers secteur”.

Nous avons également besoin, d’ici décembre prochain, « d’un règlement qui guide les activités de co-planification de manière transparente et légitime », tandis que novembre prochain est la date limite pour approuver le « pacte territorial d’administration partagée ». Celui des trois candidats qui sera élu maire devra également s’estimer déterminé à convoquer, “dans les cent premiers jours de son mandat, les Etats-providence généraux”.

Le plan stratégique

L’assemblée sectorielle serait appelée à « construire un plan stratégique » comportant quatre objectifs prioritaires. La première : procéder à l’intégration entre les espaces et districts de santé. Le deuxième : « Améliorer les services sociaux, éducatifs, socio-sanitaires et tous les processus qui génèrent du bien-être dans la zone » ; Le troisième : « Traiter la réorganisation des deux espaces sociaux 6 et 7 ». Le quatrième : « Développer la co-programmation ».

Des demandes techniques, mais qui peuvent être simplifiées comme une volonté d’implication et de nouvelles logiques dans la gestion des politiques sociales. Le mur contre mur entre les associations et l’administration sortante, concernant l’entreprise publique de services à la personne, est en fait encore une blessure fraîche.

Les États-providence généraux

La discussion est partie du thème des états généraux. Pour Fanesi, vice-maire sortant, les portes sont ouvertes à une assemblée qui serait une “contribution utile au développement de nouvelles idées”. Feu vert également en comparaison avec d’autres expériences, par exemple Bologne, et la coïncidence entre le domaine social et le district sanitaire: «Cependant, la Région a reporté la date limite de l’opération et Serfilippi a pu en expliquer la raison».

Serfilippi a répondu : « Les états généraux sont fondamentaux, malheureusement à Fano il y a une profonde séparation entre l’administration sortante et le tiers secteur. Je me souviens que la Région avait lancé un appel d’offres d’un million et demi pour encourager la co-planification.

L’opinion négative de Marchegiani sur le travail du conseil sortant était également claire: «Pas de partage des processus de décision, on a adopté des méthodes qui contournaient les critères de l’administration partagée».

«Geste sans précédent»

Les organisateurs estiment que la signature conjointe de la déclaration est “un geste sans précédent : surmontant les barrières politiques, les candidats se sont engagés à renforcer les politiques sociales, à améliorer les services et à promouvoir un développement durable et inclusif”.

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Courrier Adriatique

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