Bergame montre sa fierté pour l’Atalanta : la ville se teinte encore plus des Nerazzurri

Bergame montre sa fierté pour l’Atalanta : la ville se teinte encore plus des Nerazzurri
Bergame montre sa fierté pour l’Atalanta : la ville se teinte encore plus des Nerazzurri

Montre Bergame d’en haut est un privilège lors de nuits comme celle-ci. Il ne manquait que le ciel étoilé qui aurait été le décor idéal pour une soirée où l’on célèbre un succès européen, mais peut-être pouvons-nous déjà être reconnaissants que la pluie ne soit pas tombée. Même le mauvais temps nous a obligés à nous arrêter pour une soirée et à regarder les habitants de Bergame descendre dans la rue pour célébrer leur fierté : Atalante.

Des dizaines de milliers, dispersés dans tous les coins de la ville, depuis ceux qui se sont positionnés à Colle Aperto au départ du bus ouvert avec les joueurs, les Percassi, la Coupe, jusqu’à ceux qui ont choisi le stade pour accueillir l’équipe à son arrivée. , pendant les derniers mètres d’un voyage de quatre heures. Le stade, car pour beaucoup, c’est comme chez soi : un endroit où l’on se sent bien.

La majeure partie de la foule était concentrée entre la Via Roma et le Sentierone, qui est devenu un long fleuve Nerazzurri. Parmi les drapeaux au vent, les fumigènes Nerazzurri (et rouges), les foulards, les chants, les inévitables banderoles dédiées avant tout à Gasperini, qui est également représenté sur les murs des maisons avec la Ligue Europa à la main.

Des supporters les plus âgés qui se souviennent de la Coupe d’Italie 1963 aux plus jeunes, ceux qui vivent leurs premières expériences de football avec l’escalade de la Déesse Gsperiniana, jusqu’à ceux qui se sont approchés du monde du football ou ceux qui partagent simplement l’enthousiasme d’un célébrer les gens.

Atalanta, c’est le soir de la fête : le bus à toit ouvert dans les rues des Nerazzurri Bergame

Vous pouvez trouver des chemises de toutes sortes : de Scamacca à De Ketelaere en passant par De Roon et Lookman, héros d’aujourd’hui, jusqu’à Papu, Ilicic, Masiello, Freuler, icônes du cycle qui a conduit au succès européen. Les vieux uniformes des années 90 ne peuvent pas manquer, les survêtements classiques avec des sponsors devenus emblématiques, symboles d’une Déesse qui s’est battue pour ne pas être reléguée. Car même une fois arrivé au sommet, il ne faut jamais oublier d’où l’on vient. Et les Bergamotes le savent très bien.

Ils chantent fièrement à pleins poumons, accrochés aux grilles des fenêtres, grimpant sur les balcons et les abris, aux feux tricolores, à tous les coins de la ligne de bus. Des feux d’artifice rayonnent d’heure en heure dans le ciel qui s’assombrit, des torches rouges s’allumant. Bergame fait la fête, se réjouit, s’unit en un seul chœur. C’est la nuit de l’Atalante, c’est une nuit inoubliable pour tous ceux de Bergame qui ont pu et voulu y être.

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