À Chieti, 161 glissements de terrain ont été répertoriés, couvrant 17% du territoire de la ville – Piazza Rossetti

À Chieti, 161 glissements de terrain ont été répertoriés, couvrant 17% du territoire de la ville – Piazza Rossetti
À Chieti, 161 glissements de terrain ont été répertoriés, couvrant 17% du territoire de la ville – Piazza Rossetti

Événement participé, celui organisé par les Jeunes Démocrates de Chieti sur le thème de l’instabilité hydrogéologique, l’une des urgences environnementales les plus graves du pays et de la ville.

Le maire Diego Ferrara, le conseiller Stefano Rispoli et le professeur Nicola Sciarra se sont longuement exprimés sur le sujet, répondant également aux nombreuses questions reçues du nombreux public.

L’instabilité hydrogéologique en Italie est un problème de grande envergure. Selon les données de l’Institut supérieur de protection et de recherche de l’environnement (Ispra), plus de 91 % des communes italiennes sont exposées à un risque hydrogéologique. Cela signifie que plus de 7 500 communes sont exposées à des glissements de terrain et à des inondations.

En particulier, la ville de Chieti, selon les données de l’ISPRA, a 17% de son territoire, où vivent 14% de ses habitants, affectés par un risque de glissement de terrain élevé ou très élevé. Toujours selon l’ISPRA, la région de Chieti est touchée par 161 glissements de terrain.

“Faire face à l’instabilité hydrogéologique – disent les Jeunes Démocrates – nécessite une approche intégrée et multidisciplinaire, dans laquelle ingénieurs, géomètres, architectes, géologues et administrations locales doivent unir leurs efforts pour minimiser le risque pour la population. Un engagement commun est nécessaire de la part des institutions, communautés locales et chacun d’entre nous pour protéger notre territoire et garantir un avenir sûr et durable. Ce n’est que par des actions concrètes et visionnaires que nous pourrons préserver notre patrimoine naturel et sauvegarder les vies humaines.

PREV Capello : “L’Italie, j’avais honte. Une chose que je n’accepte pas. Être entraîneur…”
NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna