Calabre, “deal” purificateur: blitz pour protéger l’environnement

Calabre, “deal” purificateur: blitz pour protéger l’environnement
Calabre, “deal” purificateur: blitz pour protéger l’environnement

Il y a des crimes qui ne se voient pas immédiatement au cours desquels ils sont commis. Ce sont des crimes environnementaux qui polluent et tuent, enivrent et détruisent. Il existe des environnements,…

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Il y a crimes qui ne se voient pas immédiatement dans lequel ils s’accomplissent. Ce sont des crimes environnementaux qui polluent et tuent, enivrent et détruisent. Il existe des environnements merveilleux qui sont soumis aux intérêts criminels de ceux qui ont tenté de s’enrichir en souillant et en polluant l’une des plus belles mers d’Italie comme celle de Calabre. L’activité d’investigation des Forestiers puis de la Noe, l’Unité Opérationnelle Écologique, remonte à 2021, avec l’Unité Opérationnelle Centrale du Commandement des Carabiniers pour la Protection de l’Environnement et la Sécurité Énergétique de Rome, qui, suite à un rapport de l’Arpa de Soverato ( dans la province de Catanzaro) a vaincu une association criminelle dédiée à la fraude et à la pollution de l’environnement.

Une entreprise qui a réussi malgré une mission régulière de 50 approvisionnement avait empêché l’entretien correct de nombreux purificateurs. Grâce à des activités de surveillance et d’enquête impliquant des interceptions et des filatures, les soldats de l’armée ont eu accès à 24 municipalités de la région. Au Belvedere Marittimo de Soverato, des anomalies ont été identifiées dans 10 communes. Ici, essentiellement, les épurateurs qui se déversaient ensuite dans la mer n’avaient pas été entretenus correctement et face à un gain indirect, dû précisément au manque d’attention portée aux systèmes, tout finissait dans la mer. Précisément dans cette mer qui, de par sa forme, n’a pas d’égal. Les investigations, coordonnées par la Direction du District Anti-mafia de Catanzaro, a cristallisé le “modus operandi” de l’entreprise dirigée par la famille Minieri et a finalement conduit à l’exécution de 18 mesures conservatoires (quatre en prison, 13 en résidence surveillée et une obligation de se présenter).

La première audience est prévue le 12 juin. L’acte d’accusation indique que “Minieri Holding srl” “grâce à sa participation à des appels d’offres pour la gestion de stations d’épuration, de stations de relevage et de réseaux d’assainissement, dans l’un des services d’entretien, également en offrant des remises substantielles”, a obtenu les commandes “ne surveillent pas ou n’omettent pas ces contrôles nécessaires – explique le lieutenant du NOE de Catanzaro Giuseppe Salvatore Murè – les contrôles ont commencé initialement sur 50 purificateurs, parmi ceux-ci 34 présentaient des problèmes critiques et des anomalies ont été trouvées sur 10. Ces purificateurs desservaient de nombreuses municipalités dispersées à travers le pays. Région».

Les provinces

Les provinces concernées par l’opération sont celles de CosenzaCatanzaro, Crotone mais aussi Reggio Calabria et Vibo Valentia en janvier 2021. En effet et de manière répétée, comme les enquêtes l’ont ensuite révélé, les suspects d’aujourd’hui, bien qu’avec des rôles différents, ont systématiquement violé les spécifications particulières du contrat, qui comprenaient notamment la nécessité d’assurer le bon fonctionnement des systèmes, le non-respect d’une gestion correcte, l’omission des interventions d’entretien ordinaire qui auraient garanti l’épuration correcte des eaux usées, provoquant au contraire le déversement et la fuite de déchets non seulement dans la mer mais aussi dans les différents sous-sols. «En réduisant les coûts de gestion – conclut le lieutenant Murè – ils ont évité ces opérations de nettoyage, en obtenant des bénéfices économiques».

Non seulement la direction de l’entreprise mais aussi les collaborateurs sont impliqués. « Tant la direction que les employés – lit-on dans les documents d’enquête – ont agi de manière unanime, en utilisant le nom de l’entreprise et en faisant ainsi pénétrer l’activité illicite dans l’objet social ». Une « action synergique » et « concertée » de la gouvernance de l’entreprise et des salariés a permis, selon les conclusions du Ministre public “Toute mesure organisationnelle visant à prévenir les délits” de fraude et de pollution de l’environnement est clairement inefficace.

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