BELVEDERE OSTRENSE Elle errait dans la rue, effrayée, épuisée, blessée. Elle s’était échappée d’une maison de campagne, échappant à son maître ogre qui la maintenait attachée avec un…
Déjà abonné ? Connectez-vous ici!
- tous les articles du site, également depuis l’application
- Informations et newsletters exclusif
- LE podcasts de nos signatures
– ou –
Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google
S’abonner
OFFRE SPÉCIALE
OFFRE SPÉCIALE
MENSUEL
4,99 €
1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois
ACTIVER MAINTENANT
Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an
Abonnez-vous avec Google
BELVEDERE OSTRENSE Elle errait dans la rue, effrayée, épuisée, blessée. Elle s’était échappée d’une maison de campagne, échappant à son maître ogre qui la maintenait étroitement attachée avec un fil autour du cou. Un nœud coulant rudimentaire qui lui a causé une douleur insupportable, au point de la pousser à s’en libérer de toutes ses forces, déchirant la corde en nylon à laquelle il était attaché.
L’évasion
Elle a donc réussi à s’échapper de l’enceinte, errant pendant des heures dans la campagne du Belvédère Ostrense. Des passants ont remarqué la chienne d’un an et demi et l’ont dénoncée. Après l’intervention du Jesi Ast, les carabiniers forestiers de Jesi-San Marcello ont procédé à la saisie du métis, qui portait encore la sangle métallique autour du cou et présentait des blessures profondes, avec nécrose des tissus. Maintenant Dima va bien, elle a été nourrie et soignée par le personnel d’Ast et confiée au chenil du refuge Maiolati Spontini. Entre-temps, la police forestière, grâce à la puce électronique insérée lors de l’inscription de l’animal au registre canin, a réussi à retrouver le propriétaire : selon les enquêteurs, le responsable des mauvais traitements n’était pas lui, un Tunisien, mais l’un des ses compatriotes de 43 ans, maçon résidant à Belvedere Ostrense, chez qui le chien avait été confié depuis un mois. L’homme de 43 ans a été dénoncé pour cruauté envers les animaux : il risque une peine allant de 30 mille euros d’amende à 18 mois de prison. Aujourd’hui, Dima, un métis très affectueux, s’est rétabli, est en forme et cherche une nouvelle famille pour recommencer à vivre.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
Lire l’article complet sur
Courrier Adriatique