L’exposition anthologique sur Vettor Pisani s’ouvre au CIAC de Foligno
Le Centro Italiano Arte Contemporanea (CIAC) de Foligno inaugure samedi 8 juin, à 11h30, une exposition anthologique consacrée à Vettor Pisani, l’un des artistes les plus influents de la scène internationale contemporaine entre la fin du XXe et le début du 21e siècle. L’exposition, intitulée « Vettor Pisani. Voyage aux confins de l’esprit », sera ouverte au public du 9 juin au 22 septembre 2024, sous le commissariat d’Italo Tomassoni.
Promu et soutenu par la Fondation Cassa di Risparmio di Foligno, l’exposition est organisée en collaboration avec Maggioli Cultura e Turismo. Il rassemble plus de 50 œuvres significatives de Pisani, soigneusement sélectionnées parmi les œuvres des années 1970 et ses créations ultérieures, jusqu’à sa mort. De plus, les visiteurs auront l’occasion de voir du matériel photographique rare documentant les performances uniques de l’artiste, performances qui ne peuvent être reproduites d’aucune autre manière. Durant l’exposition, la voix de Vettor Pisani, enregistrée sur six bandes magnétiques, accompagnera les visiteurs en arrière-plan.
Organisée par Italo Tomassoni, qui a partagé une longue et fructueuse relation avec Pisani, l’ayant accueilli à plusieurs reprises à Foligno, l’exposition utilise des œuvres de diverses collections prestigieuses. Parmi celles-ci, la Fondation Morra à Naples, le Musée Vettor Pisani à Caggiano et la collection Pieroni-Stiefelmeier à Rome, ainsi que les collections Jacorossi à Rome, les collections Cardelli et Fontana à Sarzana et les collections Paneghini à Busto Arsizio.
Outre les œuvres exposées, l’exposition sera enrichie d’une large collection de catalogues, photographies, documents et matériel vidéo, offrant une vision complète et approfondie de l’univers artistique de Vettor Pisani.
Le CIAC de Foligno se prépare donc à accueillir cette importante rétrospective, invitant amateurs d’art et chercheurs à explorer le parcours créatif d’un artiste qui a su interpréter et influencer profondément l’art contemporain.
