les particuliers qui n’ont pas d’accord augmentent leurs prix de 24 pour cent

De plus en plus coûteux et souvent inaccessible, avec des augmentations d’une année sur l’autre atteignant près de 30 euros de plus par semaine ; et de très nombreuses semaines de fermeture des écoles, dans certains cas le double de celles d’autres pays européens, comme l’Allemagne et la France. Les frais des centres d’été non affiliés à la Municipalité ils sont devenus un véritable drain, l’équivalent d’un salaire, ou plus, multiplié par les huit semaines dont de nombreuses familles auraient besoin.

L’enquête

L’enquête annuelle de l’Adoc (Association de défense des orientations de consommation) et de l’Eures, qui analyse les coûts des centres d’été dans certaines grandes villes italiennes, dont Bologne, où les écoles ont fermé prématurément à cause des élections et où la première cloche de l’année prochaine ne sonnera pas avant le 16 septembre (soit 14 semaines de fermeture). Et c’est précisément Bologne qui est l’une des villes les plus chères du pays — le troisième, derrière Milan et Rome — avec une moyenne hebdomadaire de 137 euros, soit une augmentation de 27 euros par rapport à 2023 (24,7% de plus après douze mois, le pourcentage le plus élevé au niveau national, dont la moyenne s’élève à +10% ). Il s’agit du coût moyen se référant à un centre d’été – en fait non affilié à la Commune – et à temps plein, alors qu’en cas d’horaires réduits il tombe à 90 euros par semaine : la projection à huit semaines d’inscription porte le chiffre à 1 093 euros par enfant, qui pourrait monter à 2 110 dans le cas d’un deuxième enfant.

Les réductions

Une autre donnée sur laquelle se concentre l’enquête est précisément celle des éventuelles réductions accordées aux frères et sœurs, qu’elle considère comme un autre élément critique : «Jusqu’à 44,2% des centres d’été non affiliés n’accordent aucune réduction pour les frères et sœurs – peut-on lire dans le rapport -, contre 55,8% qui appliquent une réduction au deuxième et au troisième membre de la même cellule familiale ; remise qui s’élève cependant en moyenne à 7%. «Tout est exacerbé pour les familles qui n’ont pas de réseau de soutien familial et Bologne est une ville avec un solde migratoire stable et positif – a souligné à ce propos Manuel Michelacci, président de l’Adoc Emilia-Romagna, en collaboration avec Marcello Borghetti, secrétaire général de l’Uil Emilia. Romagne -. Aujourd’hui, il y a encore des mères qui, sans aide, sont souvent contraints d’abandonner un emploi à temps plein, également en raison de la difficulté de faire face à des coûts aussi élevés”.

Impôts sur le travail

La municipalité de Bologne, il faut le dire, propose depuis longtemps une vaste gamme de centres d’été affiliés : cette année, ils sont 106, auxquels il faut ajouter les écoles qui ont rejoint le projet Open Schools, conçu comme une extension de l’offre de formation scolaire. Pour les centres d’été affiliés, la Région et la Commune ont investi massivement, garantissant une contribution maximale de 300 euros par enfant, dans la limite de 100 euros par semaine (diverses catégories qui ont pu en faire la demande). Viale Aldo Moro a alloué un total de 7 millions d’euros comme « prime de frais » à répartir entre les différents territoires ; rien qu’à Bologne, entre les ressources régionales et municipales, plus d’un million ont été consacrés au soutien des familles (plus un autre million et demi pour l’inclusion des enfants handicapés). Certaines places sont encore disponibles.

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