Élections européennes, administratives et régionales dans le Piémont : bureaux de vote ouverts jusqu’à 23h

Élections européennes, administratives et régionales dans le Piémont : bureaux de vote ouverts jusqu’à 23h
Élections européennes, administratives et régionales dans le Piémont : bureaux de vote ouverts jusqu’à 23h

Les bureaux de vote sont ouverts jusqu’à 23h pour le deuxième jour de vote pour les soixante-seize représentants de notre pays au Parlement européen à Strasbourg. Quarante-sept millions d’Italiens, soit deux millions de plus qu’il y a cinq ans, sont appelés aux urnes, soit 370 millions dans l’ensemble de l’Union. Le taux de participation hier à 23 heures était de 14,4 pour cent.

Cependant, de nombreux Italiens ne sont pas appelés à voter uniquement pour les élections européennes puisque le week-end électoral a aussi une annexe administrative. En effet, les administrations de 3.528 communes devront être renouvelées, dont 29 chefs-lieux de province et six chefs-lieux de région : Bari, Cagliari, Florence, Pérouse, Campobasso et Potenza. Enfin, il y aura également un vote pour élire le nouveau président de la Région Piémont, dans une course à trois entre le président sortant et le candidat de centre-droit. Alberto Cirio, le candidat du Parti Démocrate, mais voté également par les centristes d’Italia Viva, Più Europa et l’Alliance Vert-Gauche, Giovanna Pentenero, et la candidate du Mouvement 5 Étoiles Sarah Disabato.

Aussi Matteo Renzi, Le leader d’Italia Viva a finalement décidé de se présenter dans trois circonscriptions, mais en dernier sur la liste du parti, c’est-à-dire à la huitième place. Entre autres choses, parmi les dirigeants nationaux, l’ancien Premier ministre est le seul à avoir annoncé que s’il était élu, il prendrait effectivement possession du siège à Strasbourg, attaquant ses collègues pour un choix qualifié de “dérision”. Bref, plus ou moins tous les dirigeants des grands partis – à l’exception de Matteo Salvini qui ne figure sur aucune liste de la Ligue et a laissé la une des journaux au général contesté. Roberto Vannacci, présents dans toutes les circonscriptions et les dirigeants du Centre et du Sud – ont décidé de miser également sur leur nom et leur popularité pour rechercher le plus de consensus possible. Dans une sorte de décompte électoral.

Comme mentionné, les Italiens devront choisir les 76 députés qui les représenteront au parlement de Strasbourg. Et les assemblées européennes décideront à la majorité des membres des instances communautaires, de la Commission européenne au Conseil européen. Un jeu qui se joue évidemment en fonction du résultat électoral, même si tous les sondages diffusés à la veille du vote indiquent que la majorité politique actuelle au Parlement européen sera finalement reconfirmée et le restera.

En bref, le Parti populaire européen, dont Forza Italia est également membre, et les socialistes, dont fait partie le Parti démocrate, resteront presque certainement majoritaires et ce seront eux, peut-être aussi en quête de consensus parmi les conservateurs, qui élira le successeur de Ursula von der Leyen. Ce qui pourrait aussi être elle-même et donc, en fin de compte, également reconfirmée malgré le fait que de nombreux représentants européens soutiennent la nécessité d’un changement.

Comme on le sait, contrairement au système des élections locales, pour la session européenne, le système proportionnel. Pour les communes, en effet, le système varie en fonction de la population : pour celles de plus de 15 000 habitants, il y a un premier tour et si aucun candidat n’obtient 50 pour cent +1 des voix, il y aura un second tour entre les deux candidats les plus nombreux. représentants votants. Pour les communes de moins de 15 000 habitants, celui qui obtient le plus de voix est élu maire, quel que soit le pourcentage. Le vote administratif, qui, comme nous l’avons dit, concerne 3.528 communes italiennes et une région, bien que limité, servira à mesurer la température des forces politiques individuelles, avec évidemment celle européenne, où l’on vote non pas des alliances mais des partis individuels.

Les défis de Bari – une ville marquée par les enquêtes judiciaires de ces derniers mois et où le centre-droit cherche un coup d’État après des années de gouvernement de centre-gauche – et de Florence, où le candidat unitaire soutenu par les partis de gouvernement, l’ancien directeur des Offices Eike Schmindt, vont tenter de mettre fin à des années de gouvernement de centre-gauche, ils exploitent aussi la division entre le Pd et le M5 qui ont indiqué deux candidats différents, Sara Funaro Et Lorenzo Masi. Peut-être que, d’un point de vue administratif, le résultat attendu avec le plus de curiosité est celui relatif à la nomination du nouveau président de la Région Piémont. Avec évidemment un autre fait très significatif, celui de l’abstention qui, vote après vote, depuis des années, ne cesse de diminuer à chaque appel aux urnes et qui risque cette fois aussi d’être le premier parti italien.

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