une autre vente aux enchères finit par être désertée et le prix tombe en dessous du million et demi

PORDENONE – Nouvelle baisse, le chiffre tombant cette fois en dessous du million et demi d’euros. Et une nouvelle date, le 24 juillet….

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PORDÉNONE – Nouvelle baisse, le chiffre tombant cette fois en dessous millions et demi d’euros. Et une nouvelle date, celle de 24 juillet suivant. En fait, la dernière tentative a encore une fois échoué. Il n’y a pas de paix pour entrepôt via Prasecco qui abritait autrefois le bowling ainsi qu’un magasin d’électronique. La procédure résultant de la liquidation judiciaire Edilnaonis elle ne s’est pas encore transformée en vente aux enchères et la « caserne » à la grande façade vitrée reste encore une cathédrale dans le désert. En détail, le hangar est grand 735 mètres carrés et fait état d’un coût au mètre carré proche de deux mille euros.

CHEMIN
Autrefois, la « caserne » était connue sous le nom de Centre commercial “Sintesi”. Née à quelques encablures de sa « jumelle », c’est-à-dire la Meduna toujours en activité aujourd’hui, elle a traversé plusieurs saisons. Certains ont réussi, d’autres nettement moins. La première grande marque à apposer son enseigne sur la grande vitrine fut Trony, un géant de la technologie et de l’électronique du début des années 2000. En 2013, cependant, un adieu soudain. Entre-temps, un bowling avait trouvé de la place.
C’est précisément dans ces années-là que la propriété décide de se tourner vers le monde dédié aux enfants et à leur divertissement. Un espace pour les familles et les enfants. Cela allait devenir le centre commercial de la via Prasecco surplombant Pontebbana. Oviesse résiste également à l’époque, rejoint plus tard par l’aventure Toys Center.
Un « voyage » s’est cependant terminé brusquement en 2018, quatre ans plus tard seulement, avec la fermeture définitive de la boutique et le maintien d’un seul point de vente de la marque, mais en Vénétie et non à Pordenone. Puis le déclin et maintenant les tentatives répétées de ventes aux enchères, le prochain rendez-vous étant fixé pour la deuxième quinzaine de juillet.

LE CONTEXTE
Si quelqu’un pense que la crise commerciale endémique n’affecte que les centres historiques des villes – y compris Pordenone, même si les données sont meilleures que celles des autres capitales provinciales –, ils se trompent lourdement. Nous n’assistons pas seulement à la vente de petits ou grands espaces situés parmi les bâtiments du XIXe siècle de la Contrada. Même les centres commerciaux ne semblent plus vivre cet âge d’or qui a contribué à leur développement souvent incontesté et – semble-t-il – incontestable. En parcourant les portails de petites annonces en ligne les plus populaires, vous remarquerez par exemple que dans le centre commercial Meduna de Pordenone, il y a de nombreux locaux à vendre ou aux enchères. Des prix qui ne sont pas, pour ainsi dire, pour toutes les bourses. Ils vont de moins de 100 000 euros à des espaces plus grands qui peuvent coûter même le triple, voire plus. Une situation généralisée qui contient des particularités, comme cela arrive toujours dans ces cas-là. Mais c’est quand même un signe.
L’endroit le plus cher est celui qui correspond à un magasin au premier étage de via Musile, donc juste à l’intérieur du centre commercial Meduna. Valeur de vente, 300 mille euros.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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