“La décision du TAR est un énième rejet du conseil”

“La décision du TAR est un énième rejet du conseil”
“La décision du TAR est un énième rejet du conseil”


L’AQUILA – La note du Passo Possibile. « La nouvelle selon laquelle le TAR a accepté le recours proposé par les habitants du centre historique, déclarant illégitime l’ordonnance syndicale n° 80/2023, les exceptions qui y sont prévues ne seraient envisagées ni par le Règlement Municipal de Police Urbaine ni par les règlements sectoriels, d’ailleurs. en contrastant cela “avec les dispositions dictées par la DGR 770/2011 aux fins de délivrance d’autorisations (précisément) par dérogation pour les expositions temporaires, faute d’enquête préliminaire”.

« Ce n’est pas un hasard si, à une époque sans méfiance, le groupe « IL PASSO POSSIBLE » a mis en lumière cette dangereuse situation de manque généralisé de protection de ceux qui vivent dans le centre historique, en nous présentant même devant l’ancien préfet Torraco, avec l’ensemble de minorité, pour demander une intervention qui serait utile pour concilier véritablement les intérêts de tous sans distinction, donc des commerçants, des habitants, des citoyens, des touristes, et pas seulement de quelques-uns, justement pour éviter que quiconque ne se sente sans protection, voire opprimé par l’évidente contrainte par l’Administration pour prolonger les spectacles au-delà des limites imposées, tant en termes de durée que de son, a pu engager une action en justice pour faire reconnaître ses droits comme protégés. Et tant de choses se sont passées !

C’est ce qu’ont indiqué les conseillers municipaux de « IL PASSO POSSIBLE » dans une note. Elia Serpetti, Emanuela Iorio, Massimo Scimia et Alessandro Tomassoni

“Nous l’avons toujours fait avec la conviction, et aujourd’hui nous pouvons le dire haut et fort, que la difficile coexistence entre les lieux de vie nocturne et les habitants n’était que le résultat d’un manque d’intervention résolue et décisive de l’Administration, et la seule (impie) la conséquence a été de les opposer les uns aux autres, et voilà le résultat !

« Une sentence qui certifie que le pouvoir dérogatoire mis en œuvre à plusieurs reprises par le Maire avec l’émission d’ordonnances illégitimes en violation flagrante des dispositions réglementaires précises en la matière (à tel point !) fondées sur l’intérêt premier de protéger l’ensemble de la communauté administrée, elle n’a jamais été justifiée par ces hypothèses de contingence et d’urgence telles qu’elles permettent et justifient la décision d’intervenir au-delà de la connotation de l’ordinaire…

Il est clair pour la plupart que, sans ces exigences, c’est-à-dire si l’on faisait abstraction de l’urgence évidente et de la contingence de l’intervention, le législateur attribuerait à l’autorité administrative un pouvoir absolument indéterminé, laissant une totale liberté d’intervention au responsable de l’intervention. la fonction, en l’occurrence le Maire : c’est exactement le vulnus !

L’utilisation déformée des ordonnances syndicales réside dans le fait de les avoir comprises et mises en œuvre comme un instrument de régulation à volonté et d’intervention en contradiction flagrante avec leur caractère “extra ordinam” et sans les motivations requises, en allant consciemment réguler ce qui est déjà réglementé, avec pour seul résultat de la création de chevauchements et d’inadéquations dangereux entre les dispositions contenues dans les dispositions locales déjà en vigueur (règlement municipal et règlement de police urbaine qui prévoit et fixe clairement la limite des manifestations à minuit pour la tenue d’événements musicaux) et, enfin et surtout, entre les réglementations étatiques et locales (loi-cadre relative aux nuisances sonores et au confinement et à la réduction du bruit).

Tout cela est évident, ce n’est pas ce que dit “l’opposition qui exploite”, les juges le disent avec des phrases claires, précises, cristallines : face à une énième défaite judiciaire, le gouvernement de centre-droit, visiblement malchanceux dans ce domaine, va l’intention encore une fois de s’y soustraire et de faire comme si de rien n’était, comme cela s’est déjà produit avec les événements liés à la réglementation sur l’utilisation du téléphérique ou à l’illégitimité de la nomination d’un commandant de police municipale sans titre ou le retour du CAS du fait de la prescription de l’action en recouvrement ?

Face à ce non-respect répété et irresponsable des différents jugements, les conséquences politiques et administratives semblent trop évidentes, mais nous laissons aux citoyens, il convient de dire, « la peine lourde ». ”


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Centre historique de L’Aquila Passo Possibile


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