Florence, plainte de Scavullo (Fi) contre les pousseurs du centre : « Situation insoutenable ». Rufilli (Pd) : «La sécurité, une de mes priorités»

UN exposé au parquet pour le signaler trafic de drogue entre via Ghibellina, Borgo degli Albizi et via Pandolfini. Le présenter est Simone Scavulloprésident du comité «Citoyens pour Florence» et candidat au conseil municipal pour Forza Italielors du dernier tour électoral.

Scavullo, habitant du quartier, parle d’une situation qui dure depuis plusieurs mois : « Le point crucial de la trafic de substances c’est celui de via delle Seggiole. Là la situation est devenue intenable en raison de l’activité des revendeurs, principalement des citoyens non communautaires, qui se déplacent des Cascine vers les zones mentionnées. Non seulement le trafic de drogue est à l’ordre du jour, mais il existe également une consommation continue de drogue au milieu de la rue et aux portes des maisons, ce qui crée un climat d’insécurité et de dégradation.

Selon Scavullo, le les familles des résidents seraient exaspérées: «Ils ne peuvent même pas rentrer chez eux sans devoir croiser devant leur porte des groupes de personnes qui fument et consomment des drogues. Cette situation se produit à un moment bien précis, de quatre heures trente à six heures trente du matin, transformant les rues en zones de vente et de consommation de substances illicites. » En outre, les itinéraires en question viendraient rempli de détritus et de bouteilles en verre briséesrésultat de réjouissances nocturnes : “Les bagarres et les disputes qui troublent l’ordre public ne manquent pas.”

Scavullo demande un intervention urgente par les autorités compétentes. Le comité « Via Pandolfini », une autre réalité du quartier, confirme les problèmes critiques signalés : « Dans notre quartier, il y a un problème de vie nocturne. Une discothèque reste ouverte jusque tard dans la nuit et une fois fermée, les clients, souvent ivres, déménagent dans un autre lieu de la Via delle Seggiole. Dès 5 heures du matin, hiver comme été, les trafiquants de drogue attendent les clients, qui arrivent toujours. Cela implique évidemment aussi bien d’autres problèmes : le bruit qui ne vous permet pas de dormir, la peur de quitter la maison à l’aube le matin, la saleté. Nous avons souvent discuté avec les ouvriers d’Alia, qui font le ménage d’abord à la grenade puis à la balayeuse. Ils trouvent tout sur le trottoir. Même pour eux, c’est une situation très désagréable de travailler avec nous.”

Le Président nouvellement élu du District 1, Mirco Rufilli, affirme que «les rapports des citoyens sont toujours précieux. C’est évident que le trafic de drogue n’est pas tolérable ni au centre ni dans aucune autre partie de la ville. Comme je l’ai répété aujourd’hui, la sécurité est ma priorité», conclut-il en faisant référence à son inspection sur la Piazzale Vittorio Veneto et la Via Montebello, après quelques images de voitures en stationnement enregistrées dans la nuit de mercredi.

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