Ariano Irpino, détenu se suicide en prison. C’est le sixième en huit jours en Campanie

Ariano Irpino, détenu se suicide en prison. C’est le sixième en huit jours en Campanie
Ariano Irpino, détenu se suicide en prison. C’est le sixième en huit jours en Campanie

Naples, le 14 juin 2024 – Le récit de suicides en prison en Campanie, il monte à 6 en 8 jours: un Italien de 34 ans s’est suicidé au pénitencier de Ariano Irpino, dans la province d’Avellino. D’après ce qui apparaît, le prisonnier a été récemment transféré pour des raisons d’ordre et de sécurité de Carinola, où il avait a attaqué quatre officiers de la police pénitentiaire.

“Le sixième suicide en huit jours : peut-être que quelqu’un pense que Ne pas intervenir videra les prisons – il commente Aldo di Giacomosecrétaire du syndicat de la police Espèce – Le gouvernement et l’administration pénitentiaire ne sont pas capables de contrecarrer ce filet de vies humaines, aucune mesure concrète n’a été mise en place pour éviter l’amplification du phénomène qui atteint désormais des niveaux records avec 42 suicides depuis le début de l’année”. “Le changement de direction ce que l’on espérait ne s’est pas produit avec ce gouvernement – ​​ajoute-t-il – l’indifférence à l’égard des problèmes des prisons a augmenté ».

Au chiffre – déjà dramatique – s’ajoute le nombre de tentatives de suicide. En mai, un détenu a tenté de se pendre dans sa cellule à Poggioreale, sauvé in extremis par l’agent de service. Le 2 juin, un prisonnier mineur a j’ai avalé du détergent en signe de protestation contre un transfert raté : d’après ce qu’il semble, ce n’était pas le premier geste de ce type. A cette occasion, plusieurs membres du syndicat Sappe avaient pointé du doigt le manque de personnel et de structures adaptées aux détenus fragiles. « Malgré le manque chronique de personnel, la Police Pénitentiaire parvient toujours à combler les lacunes les plus graves que présente la vie en prison » a-t-il déclaré. Sabatino De Rosa, coordonnateur régional adjoint du secteur juvénile. Deuxième Donato Capecesecrétaire général, ces graves événements sont « une conséquence du démantèlement, au fil des années, du politiques de sécurité des pénitenciers”, ainsi que le manque d’écoute de la demande que “les usagers atteints de pathologies psychiatriques soient pris en charge dans des structures adaptées à leur pathologie et par du personnel qualifié”.

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