Caserta, ferme le caisson hyperbare malgré les fonds du Pnrr. Patients nécessitant un traitement : « Nous ne pouvons pas l’arrêter, où allons-nous ?

Caserta, ferme le caisson hyperbare malgré les fonds du Pnrr. Patients nécessitant un traitement : « Nous ne pouvons pas l’arrêter, où allons-nous ?
Caserta, ferme le caisson hyperbare malgré les fonds du Pnrr. Patients nécessitant un traitement : « Nous ne pouvons pas l’arrêter, où allons-nous ?

« Cela fait dix jours que nous essayons de parler au directeur de la santé, mais sans résultats« . Les médecins du caisson hyperbare deHôpital de Caserte ils sont inquiets, ils ne savent pas quoi répondre les patients qu’ils ont encore de longs cycles de thérapie à faire. Les urgences arrivent dans ce service, pour les personnes à risque de prothèses, celles souffrant d’infections, celles souffrant de surdité soudaine. Dans de nombreux cas, le traitement peut sauver des vies ou au moins améliorer considérablement la qualité de vie. La chambre hyperbare de Caserta était un point de repère pour ceux de Molise àAbruzzes ne dispose pas de thérapies similaires dans la région, mais aussi pour ceux de la Latium qui ne peuvent pas bénéficier du traitement en raison des listes d’attente de plusieurs mois à la CUP. La suspension du service à Caserta laisse dans l’incertitude une partie des patients à qui l’on a simplement demandé de réserver un traitement dans d’autres établissements. Une réponse qui ne tient pas compte de l’encombrement des autres chambres hyperbares présentes en Campanie (voire dans toute la province de Bénévent n’en possède pas) et les communications déjà reçues des responsables d’autres structures. “Pour le moment, nous ne sommes pas en mesure d’accueillir des patients qui arrivent de Caserta”, déclare le responsable du service d’oxygénothérapie de l’établissement. Avellino.

La circulaire interne de la société hospitalière de Caserta est arrivée subitement, moins de deux semaines après l’interruption du service. A partir du 15 juin ils seront les services d’oxygénothérapie suspendus et les travaux débuteront le 17 démolition de cette zone, pour permettre les travaux d’agrandissement de l’hôpital, grâce aux fonds du Pnrr. « Sans le traitement par chambre hyperbare, je ne peux même pas poser le pied sur terre. Je risque la prothèse.” Antea, une jeune patiente, sait qu’à Rome on ne la prendra pas en charge avant août ou septembre, elle qui donne Cassin chaque jour, elle avait la garantie d’un traitement à Caserta. « Ce sont des soins quotidiens, Je ne peux pas les arrêter pendant deux mois« . Antea quitte l’hôpital de Caserta, son ticket prend fin le 14 juin, après cette date son sort, comme celui de nombreux autres patients, est incertain.

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