la collecte sélective des déchets toujours à l’honneur, situation insoutenable via Duca degli Abruzzi (Photo) – Sanremonews.it

la collecte sélective des déchets toujours à l’honneur, situation insoutenable via Duca degli Abruzzi (Photo) – Sanremonews.it
la collecte sélective des déchets toujours à l’honneur, situation insoutenable via Duca degli Abruzzi (Photo) – Sanremonews.it

La situation des poubelles placées dans les îles écologiques de l’arrière-pays immédiat de Sanremo est souvent au centre de l’attention des habitants et au-delà.

Samedi dernier, nous avons souligné ceux de la montée de Poggio, qui se trouvent sur le territoire matuzien mais qui ont fait l’objet d’une protestation de la part de l’adjoint au maire de Ceriana, Paolo Roverio. Malheureusement, les gens « non civilisés » habituels et très souvent aussi diverses entreprises de construction abandonnent des déchets de toutes sortes juste à côté des poubelles.

Cette fois, à la loupe se trouvent les poubelles de la via Duca degli Abruzzi, à l’intersection avec la via Mario Calvino. Les habitants soulignent comment, chaque dimanche, ils se retrouvent confrontés aux ravages visibles sur les photos et sont obligés de garder les déchets dans la maison jusqu’au lundi, sans pouvoir rien jeter : « Puisque nous vivons dans le quartier , sur les routes de campagne inaccessibles de porte à porte, ces poubelles ne seraient-elles pas faites pour nous ? Est-il possible de se retrouver chaque dimanche inconsolable, étonné et amer devant ce spectacle de dégradation ? Pourquoi devons-nous voir des dizaines de voitures et de camionnettes arriver d’autres régions et déverser des déchets qui, entre autres, ne peuvent pas être déposés dans ces poubelles ? Pourquoi tu ne fais rien ? »

Il s’agit d’un problème de longue date qui pourrait peut-être être résolu ou du moins réduit en installant des caméras de surveillance comme dans toute la ville (rappelons que jusqu’à 470 ont été installées au fil du temps). Selon des sources bien informées, l’investissement pour « couvrir » une grande partie des îles écologiques avec des caméras s’élève à environ 400 mille euros.

« C’est une question de volonté – concluent les habitants de Via Duca – de manque de fonds ou autre chose car dans d’autres villes voisines nous voyons des zones de déchets clôturées ou avec des cartes pour ouvrir les poubelles. Pourtant nous sommes à Sanremo, qui le croirait ? Si nous étions visibles des touristes, nous laisseriez-vous vivre dans ces conditions ?

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