«Lancement d’ici 2026»

Les prochaines années seront décisives pour le projet Plaisance 1733, la collection de prêt-à-porter du groupe textile Biella. Les projets futurs incluent le lancement de la collection pour femmes et, plus tard, le développement d’un plan de vente au détail fait également partie des possibilités. À court terme, on s’attend toutefois à un changement de lieu pour le showroom de Milan, rendu nécessaire par la croissance de la collection de vêtements.

«Nous recherchons un espace dans la capitale lombarde, qui serait transformé en siège du groupe, alors que la collection femme pourrait déjà être une réalité d’ici 2026. Il est encore trop tôt pour les magasins monomarques, mais ils constituent une évolution naturelle de le projet de vêtements prêts à l’emploi”, a-t-il déclaré. fashionmagazine.it Vassili Plaisancedirecteur de la marque Piacenza 1733 sur le stand de Pitti Uomo où a été présentée pour la première fois la collection SS25, caractérisée par des inspirations caribéennes et des fibres fines, travaillées exclusivement en Italie.

«La situation du marché au niveau mondial n’est pas facile – continue l’entrepreneur – mais nous restons optimistes en ce qui nous concerne. Nos principaux marchés sont les États-Unis, l’Italie, le Japon, la Corée et les pays scandinaves. Nous sommes présents dans les plus belles boutiques du monde, y compris en ligne, dans des vitrines importantes comme M. Porter Et Lane Crawford. Les tricots et accessoires d’hiver sont nos best-sellers, mais la collection entière s’agrandit”, déclare Piacenza, qui sera occupée par le salon du textile immédiatement après sa participation au Pitti Uomo. Milan Unical’événement phare du groupe Biella, «qui doit une grande partie de son chiffre d’affaires annuel (114 millions d’euros en 2023, en hausse de 26% par rapport à 2022) au métier des matières premières sur lequel il continue de croître».

un.bi.

PREV Sciaudone (FdI) sur le nouveau conseil d’Alexandrie : “Le remaniement est une nette défaite”
NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna