Devant 200 supporters enthousiastes, Nelson Dida était l’invité du club milanais « Carlo Sangiorgi ». A Faenza, l’ancien gardien des Rossoneri et de l’équipe nationale brésilienne a rappelé ses succès obtenus avec le Diable sous le président Silvio Berlusconi, rappelé avec estime et émotion un an après sa mort. « Il n’y a qu’un seul président – a déclaré le sud-américain – Berlusconi a réalisé tout ce en quoi il croyait pour l’équipe de son cœur, en la portant au sommet du football européen et mondial. Il a fait beaucoup pour le football en général et nous devons lui en être reconnaissants. Il est toujours resté proche de Milan même lorsqu’il n’était plus président, se renseignant auprès de Monsieur Pioli et du staff. C’est un vrai fan du football, toujours présent jusqu’à la fin.”
L’image que tous les supporters des Rossoneri portent dans leur cœur est l’étreinte de Dida, qui a arrêté trois penaltys, tandis que Shevchenko a signé le penalty décisif lors de la finale de la Ligue des Champions remportée par le Milan d’Ancelotti contre la Juventus de Lippi à Manchester en 2003. “En 2003, nous avions éliminé l’Inter. en demi-finale. Gagner ce concours suivi partout dans le monde m’a fait comprendre l’importance et la valeur pour chacun et cela reste une joie infinie.”
En tant qu’entraîneur des gardiens à Milan, un an dans le secteur des jeunes, puis deux en équipe première, Nelson Dida a pu entraîner Gigi Donnarumma et Mike Maignan. « J’ai eu l’opportunité de travailler avec deux grands gardiens. Donnarumma est encore jeune et possède encore un potentiel considérable. Maignan est arrivé prêt et a grandi même pendant l’année de championnat, faisant preuve d’une détermination et d’une capacité extraordinaires.
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