Appelez-le « ItalInter ». Et Marotta sourit : dans la victoire italienne il y a aussi sa main de champion

Appelez-le « ItalInter ». Et Marotta sourit : dans la victoire italienne il y a aussi sa main de champion
Appelez-le « ItalInter ». Et Marotta sourit : dans la victoire italienne il y a aussi sa main de champion

Appelez-le « Italinter ». C’est ainsi que le Corriere della Sera nous invite à définir l’équipe nationale Luciano Spalletti, entraîné dans le succès de retour contre l’Albanie par les performances des représentants du club Nerazzurri, Nicolò Barella surtout : “Dans ces débuts européens qui ont commencé par un mal de ventre et se sont terminés par la célébration des trois premiers points fondamentaux, bien mérités, il montre exactement la même force mentale que l’équipe Nerazzurri, même quand il coule, surtout quand il coule. , dans le délire rouge du Westfalenstiadion, au moins trois quarts albanais Colère, conviction, nerfs solides, estime de soi, force physique et technique : lors de cette première soirée en Allemagne, l’Italie affiche les qualités qui ont permis à l’équipe de Simone Inzaghi de se démarquer. épingler la deuxième étoile du Scudetto sur sa poitrine, dominant le championnat de loin”.

C’est ‘Italinter’ dans l’esprit, mais aussi chez les hommes : parce qu’Alessandro Bastoni récupère l’égalisation, Nicolò Barella place le dépassement et Davide Frattesi, à la fin de la première mi-temps, seul devant le gardien, frappe le poteau qui aurait immédiatement fermé le score. “Dans les tribunes, le nouveau président Beppe Marotta sourit et applaudit : il y a aussi sa main dans cette première victoire italienne, comme dans le Scudetto. Compétence et expérience : un champion.”

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