tous les anciens accusés ont été acquittés. L’affaire remonte à plus de 10 ans

tous les anciens accusés ont été acquittés. L’affaire remonte à plus de 10 ans
tous les anciens accusés ont été acquittés. L’affaire remonte à plus de 10 ans

TRANI – Aucun recours n’a été reçu au greffe, ni par le Parquet de Trani, ni par le Parquet Général près la Cour d’Appel. Ainsi, depuis hier, l’arrêt du Tribunal de Trani concernant le soi-disant « procès de la décharge » est devenu définitif et les acquittements sont devenus définitifs.

C’est ce qu’espéraient, mais raisonnablement, tous les anciens accusés de l’affaire pénale, pour lesquels le ministère public avait formulé des demandes de peines allant d’un minimum d’un an à un maximum de trois ans. Tandis que la Commune de Trani, partie civile, avait à son tour demandé une indemnisation d’un million d’euros aux éventuels condamnés.

Et puis tous ceux qui ne sont plus accusés parmi les anciens maires, administrateurs, gestionnaires et fonctionnaires municipaux et régionaux ont été officiellement acquittés (Giuseppe Tarantini, Luigi Nicola Riserbato, Pina Chiarello, Giuseppe De Simone, Giuseppe Affatato, Antonello Antonicelli, Giuseppe Tedeschi, Giuseppe Maestri, Caterina Di Bitonto, Pasquale et Pietro Elia Abaticchio, Fancesco Sotero, Francesco Di Toma, Pasquale Sorrenti, Antonello Ruggiero, Antonio Peluso, Domenico Angiolella et Michele Zecchillo, ce dernier décédé entre-temps) parce que les faits n’existent pas ou parce qu’ils n’ont pas été engagé, sur deux prescriptions seulement.

Selon la thèse du parquet (le procureur qui a chargé l’enquête était Michele Ruggiero, remplacé dans la procédure par son collègue Francesco Tosto), l’absence d’un système de collecte du biogaz aurait conduit à une présence excessive du matériau à l’intérieur. la décharge, avec pour conséquence une pression énorme qui a conduit à la libération incontrôlée du lixiviat de certaines canalisations, mais aussi et surtout la poussée vers les bords de la décharge et donc la possibilité concrète que cela soit précisément la raison de l’accident à l’origine de la dispersion des lixiviats dans la nappe phréatique qui a provoqué la fermeture de la décharge le 4 septembre 2014. Selon le ministère public, le risque d’explosion aurait également été réel.

Le Tribunal Pénal de Trani en composition collégiale (le président Corvino, aux côtés de Pedone et Ruggeri), dans le jugement du 1er février dernier, a exclu la possibilité de contestation des délits, « puisque la dispersion du biogaz n’a jamais montré aucune anomalie, le dépassement des Les niveaux de substances chimiques dans les puits peuvent être attribués à une situation spécifique et rapidement résolue et le danger d’explosion n’est en aucune façon prouvé. Compte tenu de cela – conclut-il – il semble superflu de souligner comment aucun des comportements omissifs, déduits dans l’acte d’accusation, ne peut être mis en relation fortuite avec les phénomènes mis en évidence”.

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