Di Lorenzo, Kvara et Osimhen

Di Lorenzo, Kvara et Osimhen
Di Lorenzo, Kvara et Osimhen

Les nœuds sont là depuis longtemps, tôt ou tard le peigne les aurait atteint. Donc nous en sommes là. Naples ne peut plus se mentir, ils doivent faire face au…

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Les nœuds sont là depuis longtemps, tôt ou tard le peigne les aurait atteint. Donc nous en sommes là. Naples ne peut plus se mentir, il doit faire face à ses problèmes accumulés depuis douze mois (mais peut-être même plus) et les gérer correctement. Il existe différents types de problématiques qui pèsent lourdement sur les projets sportifs, on le sait. Antonio Conté il est aussi attendu du sale boulot : c’est lui, après les grands sourires et l’engouement médiatique de son investiture, qui incarnera le nouveau cap, lui qui mettra son visage en avant, à commencer par le marché des transferts, en passant aussi par certains contrats de joueurs.

Y compris, bien sûr, les renouvellements. Marin est le premier coup porté par la nouvelle direction de Manna-Conte : il viendra avec la formule du “rebuy” car le Real Madrid veut conserver la possibilité d’exercer la “contre-rançon”. Il n’a pas mal fait à Alaves et la Serie A peut l’aider à grandir. La défense est le seul endroit où vous pouvez agir malgré tout. Manna veut allumer les projecteurs Bonjour et agir sans pression : mais il reviendra à l’assaut au Caire. Il est la cible numéro un du nouveau Naples et le club italien a également un accord avec le défenseur et son agent. Beppe Riso.

Reste maintenant la négociation avec la distance qui n’est toujours pas de peu d’importance : Naples a mis 35 millions sur la table, Turin en veut au moins 50. Plus les habituels bonus liés à la qualification pour la Ligue des Champions. Ce n’est pas une mince affaire, bien au contraire. C’est pourquoi Naples demande de la patience. Et Hermoso lui aussi : il attendra encore car être entraîné par Conte serait un rêve, mais De Laurentiis doit donner le feu vert à ses agents pour les commissions.

Les noeuds

Les voici, les nœuds. Trois. Kvara, Di Lorenzo et Osimhen. Conte est quelqu’un qui change le cours des choses dans les endroits où il se trouve mais il est clair qu’il ne peut pas être content de ce qui se passe. Trois situations différentes : force est de constater que pour des managers comme Conte, la gestion du renouvellement de Kvara ne peut que surprendre. Et il est clair qu’il ne veut pas faire de grimaces lorsqu’il se retrouve devant lui, à Castel di Sangro. Une chose est sûre : il y a son veto sur son départ. Les brouillons sont encore sur les bureaux de Filmauro, Manna ne verra pas le manager et papa polyvalent du Géorgien avant une semaine. Mais il ne bouge pas pour cette année et tout accord lié à ses adieux pourrait intervenir à l’été 2025. Certainement pas maintenant. Et Di Lorenzo ? La Juventus attise les flammes, évidemment. Mais aussi les incompréhensions entre le capitaine et De Laurentiis.

Il y a un détail, lié au remplacement à la 80ème minute et aux sifflets Maradona: Calzona a longuement parlé à Di Lorenzo même le lendemain pour lui expliquer qu’il n’y avait aucune directive présidentielle mais que, après avoir demandé du temps additionnel au quatrième officiel (cinq minutes), il a décidé de tout jouer pour tout pour gagner la partie. Visiblement, une explication qui n’a pas convaincu le capitaine. Qui a mis le pied à terre sur la rupture avec Naples : lui et Conte ont échangé de longs messages, mais il est clair qu’il en faut plus. Bien sûr, Giuffredi reste sur le pied de guerre et continue de ne donner aucun signe de détente. Voyons si le temps nous aidera. Plus les heures passent, plus Manna craint que personne ne soit disposé à payer les 120 millions prévus dans la clause. Pas même le PSG qui courtisait tant Osimhen. Ce qu’il faut faire? Evidemment, le marché des attaquants est paralysé par l’impasse liée à Victor, qui n’envisage pas de partir en Arabie Saoudite. Son agent Calenda n’a toujours pas de propositions dignes d’Osimhen de la part du premier ministre, De Laurentiis attend l’appel de Paris pour ouvrir des négociations, promettant peut-être dans le futur (pas cet été) une sorte de préemption sur Kvara. Trois épines non négligeables.

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