« Que font un conservateur et un libéral lorsqu’ils entrent dans un bar ? Apparemment, à Sanremo, ils font équipe pour occuper un siège à la municipalité. L’accord dans la ville des fleurs entre le groupe civique (auto-défini) de centre-droit et le Parti démocrate est une comédie digne du Théâtre Ariston ». Ainsi intervient le vice-ministre du MIT Edoardo Rixi, secrétaire régional de la Ligue en Liguri, après l’accord conclu entre Fulvio Fellegara et Alessandro Mager.
«Civisme en paroles, alliés des héritiers du Parti communiste italien dans les actes. Pour certains, il est clair que la cohérence s’arrête là où commencent l’intérêt et le désir de sièges. Si ce n’était pas tragiquement vrai, cela pourrait ressembler à une comédie de vaudeville. Sanremo mérite mieux qu’une alliance forcée sans fondements concrets, il lui faut une administration sérieuse et cohérente plutôt qu’un spectacle de variétés politique qui promet déjà de nouveaux rebondissements. Le centre-droit, en revanche, se présente de manière compacte et cohérente autour de Gianni Rolando, pour une administration sérieuse et cohérente”.
« Tandis que d’autres se perdent dans des alliances improbables – conclut Rixi – nous restons fermes sur nos principes, prêts à œuvrer pour le bien commun et à répondre aux besoins réels de tous les citoyens. Choisir le centre-droit, c’est choisir la transparence, la responsabilité et un engagement constant pour un avenir meilleur pour tous les habitants de Sanremo”.
IPE
