mais tout est faux. L'”arnaque aux bus” revient à Cagliari

Des abonnements presque offerts sur Facebook et des réductions pour utiliser les transports publics à Cagliari. Mais (cette fois aussi) c’est une arnaque. Malgré de nombreux rapports de la page officielle, CTM est une fois de plus dans le viseur de ceux qui, avec une « fausse » page, promettent des bons et des cartes à des prix défiant toute concurrence. La méthode, déjà dénoncée par les citoyens et l’entreprise qui gère les véhicules dans la ville, est toujours la même : un post accrocheur et peu d’informations (mais ciblées) pour piquer la curiosité de ceux qui parcourent les réseaux sociaux. L’arnaque est ainsi servie, avec l’invitation à cliquer sur un lien qui peut vous mener n’importe où sauf sur le site de l’entreprise. « Obtenez la carte CTM et roulez gratuitement pendant un an ! CTM spa lance une campagne pour améliorer la circulation urbaine et encourager les habitants de Cagliari à utiliser les transports publics Offre spéciale valable jusqu’au 30 juin 2024 ! Cliquez sur le lien ci-dessous !», indique l’annonce publiée par « Trasporto Pubblico Cagliari », comprenant des fautes de frappe et des incohérences.

Mais s’il y a deux semaines les promesses venaient de « l’Administration de Cagliari » (aujourd’hui disparue du réseau), elles sont désormais signées par une nouvelle page, qui reprend le relais de la précédente et relance avec un « plus ». En effet, dans les commentaires, affichés, apparaissent désormais les photos postées par ceux qui affirment avoir déjà reçu la carte. “Il est arrivé il y a quelques jours et je l’ai déjà testé, tout fonctionne”, écrit un utilisateur. « Merci pour cette belle promotion », dit un autre. Tous les nouveaux profils, créés entre le 16 et le 18 juin, juste au moment où le profil est né.

“Attention, fausses nouvelles”, prévenaient-ils depuis un peu plus de 10 jours depuis le CTM, demandant de collaborer avec les reportages pour fermer le profil. Mission accomplie. Mais l’histoire se répète.

© Tous droits réservés

PREV Spalletti, quel genre d’Italie sommes-nous ?|Primapagina | Calciomercato.com
NEXT Roberti, la libération de Titini fut le début de la renaissance de Trieste