Intrigue habituelle de la mairie, attaques des minorités, toujours contre les mêmes conseillers, réponses, quand il y en a, surréalistes

Séance du conseil municipal consacrée à deux points qui ont tous deux été approuvés à l’unanimité par l’assemblée municipale, un test décisif de l’ambiance des retrouvailles étudiantes 50 ans après l’obtention du diplôme : il y a les amitiés qui ne se sont pas fanées, il y a les antipathies ataviques, l’envie pour ceux qui ont fait carrière dans la vie ou pour ceux qui ont réussi à conclure le mariage du siècle, tout se cache dans l’apparente cordialité et amitié des camarades d’école, pour un soir, même ceux qui n’ont même pas dit au revoir depuis 50 ans, ils avoir un grand plaisir à être ensemble.
On retrouve une ambiance similaire au conseil municipal : la majorité est mince, seulement 13, peut-être même, la séance est ouverte grâce à la présence des conseillers minoritaires, les premiers de la classe d’un côté, de l’autre les acteurs minoritaires, qui essayer de jouer leur rôle, tout en se gardant bien d’exagérer, de ne pas attaquer, de ne pas toucher aux dirigeants et aux fonctionnaires, de ne pas s’emporter sur les difficultés évidentes de certains édiles, de ne pas dépoussiérer des faits dormants comme ceux de la piscine ou d’Iblea Des eaux.
Le premier point est presque une reconnaissance, pour le transfert à la municipalité d’un tronçon appartenant à Versalis qui l’a vendu à l’institution car il était affecté par le collecteur d’égouts qui descend de Piazza Croce.
Autre point approuvé à l’unanimité, avec un grand triomphalisme, le Règlement pour la protection contre les nuisances sonores, une loi qui traîne depuis au moins 5 ans, sinon plus, avec un expert au professionnalisme incontesté, trop de 5 ans pour un règlement , même s’il est pris comme modèle par d’autres communes, et c’est aussi un aspect qui suscite des doutes.
La Commune de Raguse y travaille pendant des années, paie un expert pendant des années et puis même les Communes sinistrées ou celles dont les maires ne sont pas vraiment en phase avec la ville en bénéficient.
L’histoire habituelle de l’oncle de l’Amérique, qui serait la municipalité de Raguse, qui se perpétue, comme pour l’université, pour les décharges et bien plus encore.
Par exemple, sur ces aspects sur lesquels cela n’aurait pas été un péché de s’opposer, personne n’ose être en désaccord, peut-être aussi parce que beaucoup n’ont même pas lu le règlement qui, par exemple, présente des exceptions étranges et inexplicables, notamment dans modalités de dérogations pour les représentations musicales dans les lieux de vie nocturne.
Pour le troisième point, « Règlement de gestion et d’utilisation des installations sportives municipales », comme par magie, apparaît la motivation d’un report, pour un acte qui, de manière cyclique, est récurrent depuis l’époque des 5 étoiles, un signal qui dans les bureaux, ils n’ont certainement pas d’idées claires sur ce qu’il faut faire.
Report providentiel également parce que le match contre l’Italie se profilait et que les administrateurs et les conseillers ne voulaient certainement pas manquer l’occasion d’observer une installation de niveau international pour avoir des idées de propositions pour l’acte en question.
Ce sont les points de l’ordre du jour, qui ont été précédés, comme d’habitude, par l’espace théâtral dédié aux communications, caractérisé par les propos talqués des minorités et les réponses souvent surréalistes des conseillers.

Surtout, se pose la question de la mauvaise salubrité des locaux de l’état civil, une ancienne bibliothèque municipale : soulevée par les conseillers PD qui se sont tournés vers un bureau compétent de l’ASP, après n’avoir reçu aucune réponse de l’ASP concernant l’octroi du l’utilisabilité sanitaire des habitants.
Cette histoire écoeurante se poursuit depuis octobre, fomentée également par une frange d’employés qui ont mal digéré le transfert de l’état civil.
La réponse de l’administration confiée non pas au conseiller aux travaux publics, responsable des travaux de réaménagement, mais au conseiller Pasta, peut-être en sa qualité de délégué au greffe, fut surréaliste.
Mais ce n’est pas que les certificats soient livrés humides, en tout cas la réponse est surréaliste, comme celles qui auraient été de la part d’édiles plus “lourds”: “nous avons consulté le chef du service de prévention et de protection de la municipalité de Raguse, apprend-on de son rapport selon lequel il conviendrait, évidemment non pas d’éliminer mais d’atténuer les effets de l’humidité, d’équiper les locaux d’équipements spéciaux pour aérer périodiquement les locaux, le bureau technique, faisant appel à ses compétences, a décidé de réaliser ce type de système stable qui, de l’aveu même du conseiller, n’a résolu que partiellement les graves problèmes critiques qui existent, graves dans la mesure où ils n’ont pas été niés.
Evidemment, même le communicateur et l’imagination littéraire du maire n’ont pas réussi à trouver les mots pour essayer de dire que ce n’est pas l’odeur de l’humidité mais le parfum de l’ancien qui trace l’identité de Raguse, encore plus appréciable dans le centre historique.

Le conseiller municipal Sergio Firrincieli a de nouveau soulevé la question du mauvais service des transports publics, l’échec historique de samedi soir à Ragusa Ibla, avec des files d’attente de plus de deux heures, les conducteurs devant faire payer le ticket aux utilisateurs individuels avant de partir.
Mais tout le service semble être en mer, avant-hier deux nouveaux bus, à peu de distance l’un de l’autre, se dirigeaient vers Ibla, tous deux presque vides.
Ce matin, vers 7 heures du matin, un bus du nouveau service et un ancien de l’AST se sont rencontrés via Archimède. Celui des transports Etna avait un numéro inexplicable 7008 dans les panneaux électroniques, où se trouvait autrefois le numéro de ligne, au-dessus du pare-brise et au-dessus de la lunette arrière.
Mais qu’en dit l’édile, après au moins 4 mois d’études ?
Cela part du constat, entièrement aux dépens du maire Cassì depuis 5 ans, que le service de transports publics était réduit à un fantôme.
Mais après 5 ans de néant, Gurrieri nous présente cette année le vide pneumatique, sans que l’on connaisse encore les coûts de ces expérimentations qui durent depuis des mois, avec navettes et autres commodités.
On parle toujours d’un service de pont expérimental pendant 24 mois. Quoi qu’il en soit, rien ne justifie les mauvais services du soir à Ibla, avec des attentes de plus de deux heures.
Cependant, malgré les raisons détaillées avancées par l’édile, nous attendons de voir les treize lignes annoncées pleinement mises en œuvre.
Une autre réponse surréaliste est celle du conseiller Giuffrida qui, à l’observation de Chiavola concernant 18 lampes d’éclairage public, 18 signalements depuis mars pour des lampes éteintes, dit seulement qu’il vérifiera la raison des retards.
L’invitation à une nouvelle inauguration de quelque chose qui n’est pas encore achevé, comme le front de mer de Bisani, est également surréaliste.

Les réponses du conseiller D’Asta ressemblent à des films, il y a une attention à tous les rapports, ainsi qu’une grande attention, avec le maire, à la question de la verdure sauvage que Calabrese, en termes de décorum urbain, a défini comme complètement abandonnée.
Et de l’attention, que D’Asta nous prodigue comme du fourrage aux chevaux, il doit en avoir en abondance car rien qu’en écoutant l’intervention de Calabrese, rien de sa compétence ne va bien, douches, fermeture des CCR, décoration urbaine, nouveau contrat de déchets, vert sauvage.
Beaucoup commencent à se demander si, au moins, le maire est conscient de la cohérence de tous ses conseillers.

L’intervention du conseiller Buscemi est également surréaliste qui, malgré le fait d’avoir à ses côtés le conseiller des districts, intervient pour que certaines divergences soient corrigées à cet égard, en s’adressant à l’administration, nous sommes vraiment comiques.

La petite photo entre le conseiller Mauro et le maire est inévitable, ayant toujours pour sujet Iblea Acque.
Mauro a parlé d’agitation politique, d’arnaqueurs, d’insuffisance dans la gestion de l’entreprise, le maire était naturellement mécontent de certains termes qu’il jugeait inappropriés, mais il ne fait aucun doute que, comme le confirment des sources fiables, au moment où ses pensées se sont fixées est-ce que le problème de l’eau, qui pourrait s’aggraver à tout moment, et celui relatif à la verdure, maintenant hors de contrôle, comme l’a également confirmé le conseiller D’Asta qui a parlé d’une réunion qui aura lieu prochainement pour arriver à des solutions, du moins pour y remédier l’urgence.
Cette fois, le conseiller Mauro a souligné combien la gestion de l’eau dans la province est en dehors de la dynamique des politiques régionales, les mesures et les dispositions pour la crise actuelle ne sont pas exploitées, il a réitéré comment les inconvénients actuels dans la région de Raguse dérivent d’un manque de compétences et non des échecs techniques dont on nourrit les gens pour calmer leur esprit.
Une fois de plus, Mauro met à nu les problèmes critiques de la gestion interne de l’eau intégrée dans la province, soulignant avec compétence, en ce sens, le manque significatif de demandes aux tables techniques mises en place par la région pour des interventions visant à renforcer les puits, créer nouveaux systèmes ou réparation de systèmes existants.
La capitale semble notamment vivre sur une autre planète.


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