«Le bruit du chant va à l’encontre des règles de la coexistence civile»

Feu vert aux cinquante poules tant qu’il est La présence de coqs dans les zones résidentielles est interdite si avec leurs friandises ils troublent l’ordre public.
Voici la principe cuit il y a quelques semaines, dans l’arrêt de Tribunal administratif régional de Vénétieprésidé par Leonardo Pasanisi avec ses collègues Nicola Bardino et Filippo Dallari, sur le différend survenu entre le propriétaire de poules et de coqs et la municipalité de Venise“censeur” de l’appel des bipèdes dans la zone de Chirignago, à Mestre.

La plainte du voisin

Et ce n’était évidemment pas un son très agréable s’il poussait un voisin à signaler à Ca’ Farsettisiège de la municipalité de Venise, le chicchirichì se répète quinze heures par jour entre 3h et 18h. C’est à partir de ce rapport que l’histoire a commencé a atteint sa première étape judiciaire il y a quelques jours seulement devant le Tribunal administratif régional de Vénétie avec le jugement rejetant le recours présenté par le propriétaire des coqs. Litige clos ? On ne dirait pas vraiment : «Nous ferons certainement appel au Conseil d’État – dit l’avocate de l’éleveur, Roberta Carraro -. Les animaux ne peuvent pas être éliminés sur la base des plaintes d’un seul voisin, vous devez d’abord vérifier si le La perturbation acoustique est perçue subjectivement ou objectivement. La Commune n’a procédé à aucune vérification en ce sens. Les coqs ? Pour le moment, Ils restent là où ils attendent la décision d’appel.”.

La bataille juridique

Dans le cas de la décision du TAR publiée il y a deux jours, elle concerne l’aspect public de l’affaire, inhérent àl jugement sur le bien-fondé des actes administratifs et non à la dispute entre les deux voisins. Plus précisément, le le propriétaire de la ferme avait mis en cause la municipalité de Venise qu’il a eu le 9 février dernier a ordonné à l’appelant d’éliminer les coqs en élevage cqui pourrait, à la place, héberger « 50 têtes d’espèces aviaires sur sa propriété », élevés pour l’autoconsommation et l’usage domestique privé sans aucune activité commerciale”. La plainte a été adressée à la Municipalité qui “il avait accepté sans réserve les plaintes d’un voisin”. A l’honneur, la plainte du voisin, déposée le 16 janvier dernier, qui soulignait “le fort dérangement provoqué par les animaux” avec des appels retentissants à plusieurs reprises pendant 15 heures par jour “générant”, lit-on dans le reportage, “un inconfort physique et psychologique continu entraînant des dommages biologiques.

Le principe et la phrase

Le TAR a retenu les plaintes du voisin comme «méthodes de gestion agricole la famille – lit-on dans la phrase – doit être compatible avec les règles de la coexistence civile et le bien-être des animaux”. Il a ainsi couvert d’intérêt public les arguments avancés dans la plainte du voisin puisque “les mesures adoptées par la Commune (interdiction d’introduction de coqs) sont prises pour protéger les raisons de la coexistence civile”.

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