Centre droit dans l’opposition à Gela, réflexions et analyses pour une coalition qui ne parvient pas à trouver l’unité

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Politique

L’opinion de Totò Scerra sur la défaite du centre-droit est claire

L’identification d’un nom qui a tardé à arriver, la rupture avec les rebelles et les mécontents, le regroupement avec une frange de ceux qui avaient quitté le pays qui n’ont pas suffi à remporter le scrutin. Le centre-droit, cinq ans plus tard, perd l’opportunité de gouverner la ville. L’heure est désormais aux analyses, aux réflexions et probablement aussi à quelques changements internes. Des partis phares tels que Fratelli d’Italia, Forza Italia et Lega n’ont pas réussi à apporter à la ville le vent qui souffle au sein des gouvernements régionaux et nationaux. Le centre droit visait le contact direct avec les secrétaires et les députés et la coalition avait tout misé sur l’expérience d’un ancien directeur municipal qui connaît bien les rouages ​​bureaucratiques et administratifs. Ce n’était pas suffisant
Le centre-droit se prépare à cinq années supplémentaires d’opposition avec cinq conseillers de la coalition, auxquels s’ajoutent l’ancienne candidate Grazia Cosentino et deux adjoints d’Alleanza per Gela. L’opinion de Salvatore Scerra sur la défaite du centre-droit est claire. Il aurait pu être le candidat de la coalition. Il parle maintenant d’erreurs qui doivent également être payées par des démissions des secrétariats du parti

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L’identification d’un nom qui a tardé à arriver, la rupture avec les rebelles et les mécontents, le regroupement avec une frange de ceux qui avaient quitté le pays qui n’ont pas suffi à remporter le scrutin. Le centre-droit, cinq ans plus tard, perd l’opportunité de gouverner la ville. L’heure est désormais aux analyses, aux réflexions et probablement aussi à quelques changements internes. Des partis phares tels que Fratelli d’Italia, Forza Italia et Lega n’ont pas réussi à apporter à la ville le vent qui souffle au sein des gouvernements régionaux et nationaux. Le centre droit visait le contact direct avec les secrétaires et les députés et la coalition avait tout misé sur l’expérience d’un ancien directeur municipal qui connaît bien les rouages ​​bureaucratiques et administratifs. Ce n’était pas suffisant

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Le centre-droit se prépare à cinq années supplémentaires d’opposition avec cinq conseillers de la coalition, auxquels s’ajoutent l’ancienne candidate Grazia Cosentino et deux adjoints d’Alleanza per Gela. L’opinion de Salvatore Scerra sur la défaite du centre-droit est claire. Il aurait pu être le candidat de la coalition. Il parle maintenant d’erreurs qui doivent également être payées par des démissions des secrétariats du parti

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