Espace de Giovi, poèmes et paroles de Giovanni Gulino (V 24 – 25 juin)

Espace de Giovi, poèmes et paroles de Giovanni Gulino (V 24 – 25 juin)
Espace de Giovi, poèmes et paroles de Giovanni Gulino (V 24 – 25 juin)

Aujourd’hui 25 juin, espace Giovanni Gulino avec L’HIVER DU COEUR, LA FORCE DE L’ÂME, LE POIDS DE LA VIE, LES BOUTONS DE ROSE

L’HIVER DU COEUR

Mon cœur est pétrifié,
tisse des intrigues de mélancolie
pour la souffrance d’un jeune homme.
Sa souffrance me déchire
au fond, comme une lame tranchante
L’espoir se gratte à toutes les latitudes
de guérison absolue.
Je me perds dans l’obscurité de la nuit
Je me bats avec la vie, j’aimerais
qu’il gagnerait ce match difficile.
Mon âme est féroce,
les larmes tombent comme de la neige
de mon cœur, et enveloppé
je souffre profondément, j’espère
immensité de l’amour.
Souffrance corporelle
disparaît avec un miracle,
foi dans la maladie
la force de l’amour s’affaiblit
guérison mutuelle.

COURAGE

Quand la vie
est sur le fil du rasoir,
Je dessine sur l’amour
avec la force d’un vautour.
Les nuits sombres
le hurlement de la huppe,
ça m’accompagne, petit à petit
mon âme se calme et je tends la main
le summum de la sérénité.
En toute sérénité je vole,
avec l’imagination,
l’angoisse et la douleur disparaissent.
Avec courage
Je loue la vie, tu es avec moi
Je n’aurai plus peur de la mort
si le hurlement d’angoisse
mes oreilles n’entendront pas
j’ai toujours la chance de t’avoir à mes côtés.

LE POIDS DE LA VIE

je l’enferme dans une valise
tout le poids de la vie,
Je me sens plus libre, planant dans le ciel
comme une libellule.
Le chemin est ardu
j’en ai marre de marcher
mais je ne me fatigue jamais,
me faire don de l’amour des autres.
J’étais adolescent il y a quelque temps,
même alors, je pensais que ma valise,
aurait porté un immense fardeau,
Ce n’est pas pour ça que j’ai abandonné !
Avec mon caractère déterminé
Je me suis défendu, alors je me suis allégé
le poids de l’existence, diffusant
des gouttes d’amour dans l’océan,
annihilant la vision de la brume.
Tout coule dans la vie
c’est juste logique,
à ce flux frénétique
photographier dans l’âme,
des aperçus de beauté qui durent une éternité.
Alors seulement la vie
cela a du sens et est apprécié,
mais dans la tribulation, il se méprise.

BOUTONS DE ROSE

Je sens un bouton de rose
Ça sent les espoirs disparus,
des roses irisées comme des baisers
tu me regardes et tu te tais, j’entends le son dans tes lèvres.
J’ai des espoirs audacieux
amoureux, je scrute la beauté
d’un bouton de rose parfumé.
C’est l’amour qui devient nature
toute ma vie dure, j’attends
de nouvelle floraison.


Vues des publications : 116

PREV Fralibri à Framura, il y a le festival de littérature
NEXT Gênes sur Turati, le message des neroverdi est clair