daspo pour onze enfants pour sauvegarder l’ordre et la sécurité publics

Des bagarres, des dégâts constants, une vie nocturne difficile et pour onze enfants de Pomezia le Daspo urbain est déclenché. Il s’agit pour la plupart de mineurs italiens et étrangers qui depuis des mois…

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Des bagarres, des dégâts constants, une vie nocturne difficile et pour onze enfants de Pomezia le Daspo urbain est déclenché. Il s’agit pour la plupart de mineurs italiens et étrangers qui attaquaient le centre-ville depuis des mois. Actes de vandalisme, échauffourées, jets de pétards à proximité de la place centrale Indipendenza, à quelques mètres de personnes âgées, de poussettes et de chiens tenus en laisse marchant avec leurs propriétaires. Et au moins une bombe en papier a explosé, histoire d’effrayer les piétons et de s’amuser en voyant l’effet que cela produit. Le soir cependant, rendez-vous devant un club privé et un point de restauration ouverts 24 heures sur 24, également à quelques mètres de la place principale, où le baby gang profitait de l’occasion pour acheter des bières, se saouler et sous les vapeurs de l’alcool provoquent de véritables bagarres qui ont causé des nuits blanches à des centaines de familles. Une véritable alarme sociale, en somme, qui avait encombré le standard des carabiniers de Pomezia, de la police locale.

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LES COMMANDES

Les contrôles stricts effectués par l’armée, qui se sont poursuivis pendant des semaines, ont mis en lumière le problème que les citoyens signalaient depuis un certain temps. L’existence d’un baby gang sauvage et incontrôlé avec derrière lui non seulement des familles à problèmes, mais aussi des parents dits « normaux et respectables » qui n’avaient pourtant aucune idée de ce que faisaient leurs enfants. Après diverses enquêtes menées ces derniers mois, les enquêteurs ont rassemblé divers éléments à charge contre les jeunes, tous impliqués, à divers titres, dans de multiples épisodes de bagarres et de dégradations commises à Pomezia. Les carabiniers ont ainsi demandé et obtenu du commissaire de police de Rome le Daspo urbain qui interdit aux onze enfants de fréquenter le périmètre du centre-ville pour une période allant d’un à trois ans, dans le but de sauvegarder l’ordre et la sécurité publics.

La disposition a été notifiée hier par les militaires de la radio mobile de la société Pomezia. Le même qui, en mars dernier, dans le cadre des mêmes contrôles contre Malamovida, avait proposé et obtenu du commissaire de police de Rome la suspension et la fermeture du club privé de Via Filippo Re pour dix jours et sept pour le point de ravitaillement de Largo Catone, considéré comme un point de rencontre pour les jeunes violents. Le fort sentiment d’insécurité et l’inquiétude sociale soulevée par les citoyens ont poussé les carabiniers à effectuer une longue série de contrôles dont il est ressorti que les locaux étaient habituellement fréquentés par des personnes ayant des démêlés avec la justice. Le centre-ville continuera donc à être soumis à des contrôles intenses de la part des patrouilles des carabiniers pour vérifier le respect des mesures et garantir ainsi la sécurité.

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