Di Lorenzo est une déception en équipe nationale comme à Naples (CorSera)

Di Lorenzo est une déception en équipe nationale comme à Naples (CorSera)
Di Lorenzo est une déception en équipe nationale comme à Naples (CorSera)

Il a remporté l’Oscar de la franchise pour sa gratitude envers Spalletti. Jorginho l’aime bien : « un terrible Européen. C’est lent, sans rythme, toujours en apnée”

Mg Gelsenkirchen (Allemagne) 06/20/2024 – Euro 2024 / Espagne-Italie / photo Matteo Gribaudi/image Sport dans la photo: Giovanni Di Lorenzo

La Corriera della Sera fait le point sur ces trois premiers matches de l’Italie à l’Euro 2024. En excluant les débuts contre l’Albanie au cours desquels l’équipe nationale de Spalletti a bien réagi au désavantage et a gagné à juste titre, le reste des deux matches est une déception. Tout aussi décevants furent les deux hommes clés de Luciano : Di Lorenzo et Jorginho. Tous deux très négatifs contre l’Espagne et la Croatie.

Di Lorenzo a remporté l’Oscar de la franchise

CorSera écrit :

Giovanni Di Lorenzo a remporté l’Oscar de la franchise: «Je ne jouerais pas avec un autre entraîneur». Le capitaine de Naples, titulaire trois fois sur trois, est l’un des visages tristes de l’Italie. Nico Williams l’a stupéfié, lui donnant une mauvaise image dans le monde, mais même lors de ses débuts contre Albani et lors de sa dernière performance contre la Croatie, il n’a pas brillé : une question de condition, mais surtout de conviction. Le dénominateur commun entre le bleu de Naples et le bleu de l’équipe nationale est la déception.

La même déception ressentie également pour Jorginho

Le même qu’un autre des héros de Wembley et du dernier triomphe européen : Jorginho.

Toujours apnéiste, Jorginho est en difficulté sur le plan dynamique et physique et ne parvient pas à laisser prévaloir son talent, au point que pour la Suisse il est menacé par Fagioli alors même qu’il aurait plus d’une raison de chercher la rédemption. Notre réalisateur incarne un terrible Européen. C’est lent, sans rythme. Perfides, ils écrivaient : marchez. Il n’a certainement pas de flashs, il n’invente pas de couloirs. Jamais un lancer. Il joue une touche, mais dans le sens où on la lui passe : et il la lui rend. De côté, si ça te va. Sinon, à l’envers. Juste lors du premier match, contre l’Albanie« .

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