Dernier à Messine, concert à guichets fermés à Franco Scoglio

Ultimo est sur le point d’arriver en live pour la première fois à Messine avec une date à guichets fermés pour sa tournée record Ultimo Stadi 2024 – Le conte de fée continue…. Après le rendez-vous zéro au stade Nereo Rocco de Trieste, le premier grand doublé à Naples, le deuxième à Turin et les trois rendez-vous magiques dans sa ville natale de Rome, Ultimo est attendu à Messine le 28 juin pour un spectacle qui promet de faire le vibreront les tribunes du stade Franco Scoglio, avec une setlist qui oscillera entre les grands succès de l’auteur-compositeur-interprète romain et les nouveaux succès de l’album certifié Disco D’Oro Altrove, sorti le 17 mai dernier sous le label indépendant Ultimo Records et distribué par Croire.

Le spectacle chez Franco Scoglio

Le spectacle colossal d’Ultimo promet d’étonner grâce à un dispositif grandiose : outre la scène imposante (60 x 22 mètres), 900 m2 de murs LED dominant l’arrière sur une hauteur de 18 m, un système d’éclairage massif (plus de 600 luminaires), et les visuels suggestifs développés par Galattico. Il y aura également une double installation suspendue dans les airs pour certains membres du groupe et un piano au centre, une passerelle centrale (50 m) avec un ensemble piano et guitare à l’esthétique plus urbaine qui évolue vers une scène B avec un troisième piano dédié aux moments acoustiques.

Pour accompagner Ultimo dans cette grande aventure live, un groupe exceptionnel: Joel Ainoo aux claviers, Manuel Boni à la guitare, Jacopo Carlini au piano, Mylious Johnson à la batterie, Raffaele « Rufio » Littorio à la guitare, Silvia Ottanà à la basse, Andrea Innesto au sax, Pierluigi Potalivo à la guitare et aux chœurs, Chiara Di Benedetto au violoncelle, Tommaso Belli et Alessia Giuliani au violon, Marco Venturi à l’alto, Davide Albrici au trombone, Alessandro Bottacchiari à la trompette et Alice Tombola aux chœurs. La direction musicale est confiée à Andrea Rigonat.

Pendant le spectacle, il y aura un espace pour libérer le public et pour des moments de réflexion, comme l’interprétation touchante d’Alba, une véritable peinture, réaliste et délibérément brute, qui oppose les paroles délicates de la chanson avec des images de guerre, pour recréer un climat presque suspendu qui ramène le public à la réalité que l’on voit chaque jour de loin : “pouvez-vous imaginer si tout cela était réalité”, qui à la fin rembobine la bande sur les horreurs et ramène la vision onirique d’un monde qui revient à la normalité, à la paix, à la légèreté, nous encourageant à imaginer un scénario différent de ce que nous connaissons.

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