Turin, Mirafiori et Santa Rita comptent trois fois plus de personnes âgées que de jeunes. Et le nombre d’enfants qui n’étudient pas et ne travaillent pas augmente

Une ville âgée, malgré l’augmentation du nombre de familles étrangères, avec plusieurs zones à faible niveau d’éducation et où je les jeunes des banlieues souvent, ils n’étudient pas et ne travaillent pas. Ce n’est pas un portrait flatteur que tu fais Données Istat sur la capitale piémontaise, qui, avec d’autres collègues répartis sur tout le territoire national, de Rome à Naples, a été inclus dans une étude visant à enquêter sur les conditions de sécurité et l’état de dégradation des banlieues. Une recherche dans laquelle Turin ressort avec des os brisés, et elle n’est pas la seule.

Si l’Italie est un pays qui vieillit à des moments records, tant en raison de l’augmentation de l’espérance de vie que de la réduction du taux de natalité, Turin en est un excellent interprète. À Mirafiori et Santa Rita, par exemple, il y a trois fois plus de personnes âgées que de jeunes, et ce n’est pas une figure de style, mais un fait précis. L’exception qui confirme la règle est Village de Montérosa, où l’on compte 108 habitants de plus de 64 ans pour 100 de moins de 14 ans. Il n’y a qu’une seule explication : la forte présence d’étrangers dans la zone, 431,3 pour mille habitants, supérieure à celle des autres quartiers et capable de maintenir l’indice de vieillesse. Une caractéristique qui « sauve » les équilibres démographiques de Turin, Milan et Gênes, où l’incidence des résidents étrangers est plus élevée que dans les communes du sud : 187,8 pour mille habitants à Milan, seulement 38,4 à Palerme.

Passons au sujet de la basse niveau d’éducationCependant, dans ce cas également, Turin compte certains domaines plus critiques que d’autres. Dans ce cas, toute la banlieue nord de la ville a été rejetée : de Borgo Dora à Aurora, jusqu’à Valdocco et Barriera di Milano. Des zones qui se caractérisent par une proportion plus élevée de personnes ayant un faible niveau d’éducation (toujours supérieur à 5 %), à laquelle s’ajoute une composante importante de jeunes qui n’étudient pas et ne travaillent pas (presque toujours supérieur à 30 %). Enfin, un fait inhabituel : à Turin 35,9% des familles ne vivent pas dans leur propre logementune statistique qui la place (avec Milan) derrière Palerme, où la moyenne s’élève à 34,5%.

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