Terni, conseillers FdI: «Bandecchi, au-delà du cirque seulement le néant»

Terni, conseillers FdI: «Bandecchi, au-delà du cirque seulement le néant»
Terni, conseillers FdI: «Bandecchi, au-delà du cirque seulement le néant»

27 juin 2024 18:38

des conseillers municipaux de Fratelli d’Italia – Terni

Le conseil municipal du 27 juin 2024 a « donné » à la ville – pour ainsi dire – un autre drame, des violations des règlements, des démonstrations flagrantes de non-conclusion et de mystification, des mensonges sur des mensonges, des attitudes offensantes. Au centre de l’ignoble spectacle, les cinq questions présentées par les conseillers de Fratelli d’Italia concernant les services sociaux sur autant de sujets, sujets qui seraient par contre très sérieux en raison de la gravité des problèmes liés : services territoriaux et communautaires, lutte contre les violences de genre, lutte contre la pauvreté, inclusion sociale, soutien aux sans-abri.

Conseillers FdI

Ce sont des secteurs pour chacun desquels l’administration Bandecchi a tenté de mettre le plus de plumes à son chapeau, grâce au “célèbre” tract de propagande réalisé par le Palais Spada et placé dans des boîtes dans toutes les maisons des habitants de Terni au mépris du interdictions de l’égalité des conditions en pleine campagne électorale pour les élections européennes : ce pour quoi, d’ailleurs, le gouvernement Bandecchi susmentionné a déjà été largement sanctionné.

Avec cette brochure, on disait – un mensonge – aux habitants de Terni que Bandecchi et ses hommes avaient réalisé on ne sait quoi dans ces domaines, comme s’il s’agissait de leurs propres projets et ressources allouées l’année dernière, en complète discontinuité avec l’administration précédente. . Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, à notre connaissance : mais, précisément pour clarifier, avec nos questions nous avions l’intention de faire expliquer quels actes et quelle nouvelle planification (aucune) autorisaient Bandecchi & C. à tromper la ville en lui attribuant du mérite. pour d’autres, n’ayant rien fait d’autre (en réalité) que de laisser les bureaux réaliser le travail déjà prévu et entrepris par la précédente administration de centre-droit.

Et voici le spectacle. Voilà un président du conseil municipal (avec une hyperbole supérieure à celles pour lesquelles il s’est déjà largement distingué négativement ces derniers mois) qui prétend faire répondre le maire avant même les conseillers (comme le prescrit au contraire la loi, le règlement et voire du bon sens) ont pu illustrer les questions respectives ! Voilà un maire pressé, il doit partir (après tout, sa durée de séjour dans la ville est connue, zéro point, presque comme les voix d’AP aux élections européennes…). Mais trouve le temps ressembler à un chien (il aboie en fait…) vouloir imiter les voix des conseillers qui à ce moment-là protestent : encore une autre offense au peuple, au rôle, au mandat populaire dont les conseillers sont l’expression.

Voilà un maire qui pourtant, avant de quitter la salle, parvient à faire au moins deux choses et ce sont deux choses qui en disent long. Premièrement, essayez de répondre à la place de la conseillère compétente Viviana Altamura (tout comme l’adjoint au maire Corridore l’a fait en remplaçant Mascia Aniello interrogé par nous sur l’AST, alors nous savons tous comment cela s’est terminé…). Deuxièmement, Bandecchi dicte la ligne : il n’y a rien à demander ni même à répondre – il essaie d’argumenter – étant donné que la brochure incriminée, dit-il, a été payée par lui…

Allez, monsieur le maire, c’est un très gros problème. Quel que soit celui qui l’a payée, cette brochure (résultat d’une liste de courses préparée par les employés de l’organisation, certainement payés avec de l’argent public) s’est présentée à toutes fins utiles à l’opinion publique (mystifications mises à part) comme l’histoire des choses faites par la Commune. . C’est ainsi qu’elle a été et c’est encore ainsi qu’elle a été servie aux citoyens : et c’est pourquoi, tout d’abord, elle peut pleinement faire l’objet de toute analyse approfondie demandée par les conseillers municipaux.

Mais Bandecchi, après avoir joué au chien, occupé à d’autres choses, avait abandonné le conseil : et le conseiller « compétent » Altamura, complètement incapable de répondre sur le fond, sourit de côté, n’avait d’autre choix que de s’en tenir aux instructions du tract. que le maire venait de lui donner : il a payé cette brochure de sa poche (voici la référence), donc vous ne devriez pas vous intéresser à ce que cette commune a fait (ou n’a pas fait) en matière de services sociaux. Statut et règlement sous vos pieds, pour changer. Des conseillers offensés, ainsi que l’institution qu’ils représentent, pour changer. Bégaiement et ne rien faire Giunta, pour changer. Heureusement, les habitants de Terni ont commencé à comprendre.

Partagez cet article sur

PREV L’influence de Florence dans la Renaissance culturelle italienne et le patrimoine de l’UNESCO
NEXT Porto, la surtaxe est reportée – Province de Civitavecchia