Adieu au charbon confirmé. Cerano et Enel demandent prêtes

Adieu au charbon confirmé. Cerano et Enel demandent prêtes
Adieu au charbon confirmé. Cerano et Enel demandent prêtes

L’une des principales échéances pour la décarbonation et donc le démantèlement de la centrale électrique est désormais très proche Ener « Federico II » de Cérano. Là disposition définitive des trois groupes de production actuellement utilisables, même s’ils sont « en conservation », est soumis à la délivrance de l’autorisation de démantèlement définitif par le Ministère de l’Environnement. Autorisation pour laquelle la demande formelle doit être introduite avant le 30 juin.

Travaux en cours

Et en ce moment, la compagnie d’électricité prépare la demande pour obtenir le feu vert pour l’élimination définitif des systèmes. Avec une certaine incertitude, à partir des prévisions d’utilisation du carbone. En 2023, en effet, on imaginait qu’une tonne et demie de carburant serait transportée au cours de l’année 2024, alors que les prévisions pour 2025 indiquaient une utilisation de 400 mille tonnes. Des prévisions qui, au moins pour 2024, se sont révélées complètement fausses, compte tenu de ce qu’elles sont Depuis novembre dernier, aucun charbonnier n’est arrivé au port. Les trois groupes actuellement utilisables sont donc à l’arrêt et ont de fait été placés « en conservation », c’est-à-dire en pauseprêt à être rallumé si nécessaire.

Le doute sur les temps

L’autre incertitude est décidément plus importante. En théorie, en effet, dans la demande présentée par Enel, la date prévue pour la décarbonation est celle fixée par le Pniec, le plan national intégré énergie et climat, c’est-à-dire le 31 décembre 2025. À plusieurs reprises cependant, le ministre de l’Environnement Gilberto Pichetto Fratin parlé de la possibilité de anticiper la sortie du charbon. Par exemple, il y a quelques mois, dans le cadre du G7 sur l’environnement et l’énergie à Venaria Reale, dans la province de Turin, le ministre a présenté la situation des principales usines en Italie, en la replaçant dans le contexte international global. Plus en détail, dans la perspective d’une sortie anticipée du charbon, Pichetto Fratin a évoqué la possibilité que cela puisse se produire «dans un an, encore moins», faisant surtout référence à l’Italie continentale (pour la Sardaigne, il faudrait toutefois fixer la limite à 2027). Et c’est dans ce contexte que le ministre a également déclaré : « En septembre, j’étais presque prêt et puis j’ai eu un doute et une seconde réflexion. Il existe un document de politique signé par le soussigné qui établit la réduction au minimum de la production utilisant du charbon dans les deux grandes centrales électriques de Civitavecchia et Toasts. J’ai opté pour le réduction au minimum car il y avait de grands doutes quant à la possibilité que quelque chose se produise dans le contexte géopolitique international. »

Usine à l’arrêt depuis novembre

Ensuite, a rappelé le ministre, il y a eu l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre, ainsi que les crises qui y sont étroitement liées, comme celles de la mer Rouge et du détroit d’Ormuz, qui sont un carrefour énergétique pour l’Italie. En résumé, le représentant du gouvernement Meloni a conclu qu’« il existe des évaluations qui vont au-delà de la stricte évaluation du mérite, mais L’Italie est prête pour la partie continentale”. La centrale Enel “Federico II” de Cerano, ainsi que la centrale “jumelle” de Civitavecchia, sont cependant, comme mentionné, pratiquement à l’arrêt depuis novembre de l’année dernière. Un premier groupe (et plus précisément, le groupe 2) il avait déjà été mis hors service en 2020selon le chemin tracé au sein du Pniec. Pour l’arrêt des trois autres, la lettre de demande d’autorisation sera envoyée dans les prochaines heures.

L’avenir du site Cerano

Aucun espoir cependant, malgré les nombreuses demandes des syndicats, pour le conversion de gaz de la centrale électrique. Un choix sur lequel Enel semble vouloir ne pas revenir. Tandis que quelque chose commence à bouger concernant l’avenir du site de Cerano. En fait, lors de la dernière réunion de la table sur la décarbonisation, ils ont finalement les noms des investisseurs ont émergé intéressés à amener leur production dans les zones d’Enel à démanteler, entre la centrale électrique, le port et l’arrière-port. Mais surtout, pour la première fois, l’approbation est officiellement arrivée du Ministre du Commerce et du Made in Italy. Adolfo Urso à l’organisation d’un Table nationale de chimie et tous’Accord de programme pour Brindisisollicité depuis un certain temps par le territoire pour tenter d’endiguer l’hémorragie d’emplois qui sera provoquée par l’arrêt définitif de la centrale électrique “Federico II” de Cerano.

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