Piste cyclable, inconnues sur le « Dernier kilomètre » – Province de Civitavecchia

Piste cyclable, inconnues sur le « Dernier kilomètre » – Province de Civitavecchia
Piste cyclable, inconnues sur le « Dernier kilomètre » – Province de Civitavecchia

LADISPOLI – L’été de Ladispola ne sera pas seulement Piazza Rossellini mais aussi la Grottaccia. Les administrateurs municipaux l’ont déclaré lors de la conférence de presse de présentation de la programmation estivale. Et c’était ainsi. Ces derniers jours, nous avons commencé avec les récitals de danse des écoles de la région. Et les problèmes liés au nouveau réseau routier provoqués par la piste cyclable – encore inachevée et à l’arrêt – se font déjà sentir. Il est difficile de trouver une place de stationnement, d’autant plus maintenant que les vacanciers arrivent également sur le littoral, notamment dans les zones entourant les travaux. Dans la via Rapallo, la rue étroite, en plein centre et maintenant aussi avec la via Venezia transformée en chantier à ciel ouvert où la moitié des places de parking présentes ont été balayées, il est vraiment difficile de se garer. La circulation des véhicules est évidemment également affectée, notamment aux heures de pointe. Les représentants de l’opposition ont braqué à plusieurs reprises l’attention sur l’itinéraire rouge, notamment celui qui doit conduire de la Via Roma à la gare. Mais une question reste aujourd’hui sans réponse certaine pour les élus eux-mêmes et surtout pour les citoyens : comment sera connectée la piste cyclable de la Via Venezia à la Piazzale Roma ? Personne ne sait encore rien de ce « Last Mile ». «Nous avons posé des questions aux bureaux et au conseiller à ce propos – a expliqué le conseiller de Ladispoli Attiva Gianfranco Marcucci – et ils nous ont dit qu’ils étaient en train d’évaluer. L’été va passer avec cette incertitude.” Un fait, pour Marcucci, “très grave”. Et le plan de piste cyclable et de mobilité urbaine durable sera également discuté au conseil municipal sur motions et questions le 23 juillet. “Nous avons besoin d’une vision globale – a poursuivi Marcucci – parce que les interventions, si “coupées”, font que les pistes cyclables deviennent un problème et sont détestées par les citoyens”. Selon le représentant civique, différents aspects sont pris en considération : du stationnement à la circulation automobile. Bref, il faut avoir une vision complète avant de se lancer dans un projet qui va « bouleverser » les routines des citoyens. ©TOUS DROITS RÉSERVÉS

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