de Flaminio à Eur, les passants en danger en raison du mauvais entretien des “zèbres”

Dans une ville où ils sont déjà comptés 78 victimes d’accidents de la route depuis le début de l’année aussi les piétons sont en danger d’être dépassé non seulement à cause du comportement incorrect des automobilistes (les conducteurs de scooters, les cyclistes et ceux qui utilisent des scooters électriques ne font pas exception) : un autre écueil est représenté par rayures effacées au passages pour piétons dans les zones à forte densité de trafic ou où les flux touristiques sont canalisés. Si l’impatience – qu’il s’agisse des embouteillages ou des arrêts aux feux tricolores – conduit souvent à accélérer, même si c’est pour gagner quelques centimètres, sans l’alerte visuelle du «zèbres» il le taux de danger augmente.

Le problème s’aggrave à proximité des chantiers de construction

Le potentiel de risque est encore plus élevé avec le sombrequand le la visibilité diminue (les lumières LED des lampadaires qui devraient être remplacées selon les plans de la Municipalité ne facilitent pas la mise au point à distance). Parmi les points où les passages piétons ont littéralement disparu, via Vittorio Emanuele Orlando devant l’hôtel St. Regis : en tournant depuis la Via XX Settembre, au confluent avec d’autres rues (la chaussée est rétrécie en raison du chantier du Jubilé sur la Piazza della Repubblica), en l’absence de signalisation, il arrive qu’il faille clouer à la dernière seconde pour éviter les piétons. Peinture blanche délavée, presque invisible, même de face Fontaine des Naïades et, plus tard, dans viale Luigi Einaudi.

Négligence dans les quartiers

Situation similaire dans via Giolittidevant l’une des entrées du Gare Termini où passent chaque jour des milliers de voyageurs et de touristes : la couleur est si délavée qu’elle est méconnaissable. Sur rayures fantômes dans viale Ippolito Nievo, près du marché de Porta Portese, certains profitent des panneaux évanescents pour garer le SUV au milieu de la route dans la section qui serait réservée aux piétons. Depuis Trastevere, l’effet de fondu “je vois-je ne vois pas” atteint via Ettore Rolli, via Ostiense et jusqu’à Eur, viale della Civiltà del Lavoro. La négligence est transversale: de via di Boccea à Laurentino, de Monteverde-Gianicolense au centre-ville Place du Parlement où la couleur change, du blanc au jaune, mais pas la détérioration. La même chose se produit dans via les Bastioni de Michel-Angeprès de la Piazza Risorgimento et de l’entrée des Musées du Vatican, et à Place de Veniseassiégé par le métro C fonctionne si ce n’était que le Je veux être dissous des « zèbres » bien avant l’ouverture du chantier.

Manifestations de citoyens exigeant la restauration

Peinture également usée via delle Quattro Fontane, au carrefour avec la via Nazionale, non loin du Quirinale. L’échec de la restauration persiste malgré le manifestations citoyennesqui a lancé la camérapages de collecte de signatures sensibiliser l’administration à la nécessité de repeindre les panneaux routiers supprimés à proximité des passages piétons : certains, les plus sensibles, à proximité des écoles. Outre la sécurité, qui est une priorité, il y a un autre aspect : en 2016, un arrêt de la Cour de cassation a arrêté que si les rayures ne sont pas visibles en cas de mauvais entretien, l’amende de stationnement pourra être annulée.

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