De l’intelligence artificielle à la physique, de la cybersécurité aux sciences cognitives : l’Université de Trente et FBK toujours ensemble, accord renouvelé

De l’intelligence artificielle à la physique, de la cybersécurité aux sciences cognitives : l’Université de Trente et FBK toujours ensemble, accord renouvelé
De l’intelligence artificielle à la physique, de la cybersécurité aux sciences cognitives : l’Université de Trente et FBK toujours ensemble, accord renouvelé

TRENT. Projets de recherche, laboratoires communs et programmes doctoraux partagés. C’est désormais officiel, la Fondation Bruno Kessler et l’Université de Trente renouvellent leur collaboration stratégique pour trois années supplémentaires.

A partir d’aujourd’hui, lundi 1er juillet, ce sera active le nouvel accord approuvé et signé ces derniers jours par les deux instituts de recherche de la région et l’accord-cadre servira de point de référence pour la poursuite de nombreuses activités en cours et pour la définition de nouveaux projets.

Le renouvellement était en fait un transition formellequi est désormais devenu presque un événement fixe tous les trois ans, et ce qui est souligné est la façon dont continuité du lien dans la recherche C’est la force du système trentin : pouvoir compter sur un réseau de contacts, de relations et de compétences qui donne structure et compétitivité et multiplie les opportunités pour le territoire compter à l’échelle nationale et internationale, à travers ses institutions de recherche.

La convention a également un concept clé, “double rendez-vous”terme qui désigne le statut des professeurs ou des chercheurs qui travailler simultanément pour les deux institutions : ce sont des postes de recherche créés spécifiquement pour développer l’intégration des activités et des projets entre différentes institutions, promouvant l’innovation et la compétitivité.

Concrètement, ils occupent actuellement cette double position sept personnes dans les deux institutions: deux dans le rôle de professeur titulaire, deux comme associé et trois comme chercheur.

L’accord entre UniTrento e Facebookcomme mentionné, prévoit la création de laboratoires communs de recherche avec possibilité partage des infrastructures de recherche entre les groupes des deux institutions.

Il y a aussi la possibilité de établir de nouvelles structures des projets de recherche communs, même de durée temporaire, dotés de leur propre autonomie de gestion, où le personnel des deux organismes est encouragé pour travailler ensemble.

En outre, la convention parle de la création et du maintien de cours conjoints de doctorat et de master professionnel: actuellement Fbk participe par convention à des doctorats de recherche établis sous forme associée, en Innovation industrielle et en Sciences cognitiveset contribue à l’offre éducative de niveau III de l’Université soutenir financièrement environ soixante-dix bourses de doctorat actives dans le cadre d’un réseau consolidé de collaborations scientifiques entre l’Université et la Fondation.

“Pour faire face aux défis de demain, ils sont nécessaires collaborations stratégiques. Aujourd’hui, la Fondation Bruno Kessler et l’Université de Trente veulent continuer à sanctionner ce qui en est un partenariat important et significatifenraciné dans l’histoire mais tourné vers l’avenir” commente le président de FBK Ferruccio Resta, qui précise : “Nous le faisons en pensant d’abord à la recherche, au recrutement des filles et des garçons qui, avec leur doctorat, s’engagent sur le chemin de nouveaux profils de recherche, projets partagés dans des laboratoires communs. Seulement grâce à un synergie et partage des objectifs et des ressources, nous pouvons être compétitifs et attractifs au niveau international et être capables d’apporter de la valeur au territoire”.

Exprimant également sa satisfaction, partageant le point de vue de Ferruccio Resta recteur de l’Université de Trente Flavio Deflorian: “Cet accord s’inscrit dans la continuité de trois années de collaboration qu’ils ont fruits importants dans le domaine de la recherche. Une collaboration qui n’est pas nouvelle car ces institutions ont toujours existé ils comparent, collaborent, agissent ensemble pour l’innovation locale. Faire masse critique en recherche, c’est important car cela nous permet de faire face avec plus de confiance et la compétitivité sont les grands défis auxquels nous sommes confrontés, pour le bénéfice de développement de notre territoire et de notre société de manière générale, sur les thèmes de la recherche et du transfert de connaissances. Nous avons travaillé ensemble sur de nombreuses questions d’actualité, de‘intelligence artificielle au la cyber-sécuritéà bien d’autres thématiques que nous souhaitons développer dans les trois prochaines années, renforcer encore plus une collaboration fondamentale pour nous et pour le territoire qui nous accueille.”

PREV Chianti à Los Angeles pour la soirée d’accostage du “Amerigo Vespucci”
NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna