Une vitrine du Corso Italia a été brisée dans la nuit

Maison » Nouvelles » Une vitrine du Corso Italia a été brisée dans la nuit

«C’est la faute d’une dégradation avec laquelle nous avons désormais le sentiment de devoir vivre». C’est le cri de la gérante du magasin de vêtements Two Way, qui a retrouvé hier matin une partie de la vitrine presque entièrement brisée devant elle.

Une vitrine du Corso Italia a été brisée dans la nuit

La police enquête actuellement sur l’incident, survenu dans la nuit de samedi à dimanche, au milieu du Corso Italia, près de l’église du Suffragio, et en plus de l’acte de vandalisme, elle n’exclut pas une tentative de vol. En arrivant devant le magasin hier en milieu de matinée, le propriétaire s’est immédiatement rendu compte que quelque chose n’allait pas, découvrant deux grosses fissures dans le verre. Après avoir relevé le volet, la femme a alerté la police qui est rapidement arrivée sur place avec une patrouille de police, qu’elle a alors retrouvée à l’extrémité gauche du magasin, et sous une caméra d’un commerce confiné qui aurait pu tout reprendre, un grand pavé, utilisé pour frapper la fenêtre.

LIRE AUSSI Frappée par une bombe à eau alors qu’elle était au volant, elle finit par écraser sa voiture dans un magasin

Dégradation et désolation au centre

A l’extrémité droite se trouve une pierre plus fine, compatible avec les signes de forçage constatés sur une autre partie du verre, faisant également réfléchir les policiers à la possibilité d’une tentative de vol. Les vidéos des nombreuses caméras de la zone qui seront acquises dans les prochains jours pourront en dire bien plus. «Je travaille dans le centre depuis vingt ans et malheureusement la dégradation et la désolation deviennent de plus en plus visibles – commentait alors le directeur du commerce de vêtements, trouvant également un terrain fertile chez d’autres commerçants -. Venir travailler le dimanche et se retrouver face à une telle situation ne plaît à personne. Malheureusement, telle est la situation – a-t-il conclu – et il ne semble pas qu’elle puisse changer.”

Tommaso Zei

ARTICLE COMPLET DANS LE COURRIER DE VITERBO DU 1ER JUILLET – KAND NUMÉRIQUE

PREV «Ici, en Italie, nous faisons ce que nous voulons». Les bénévoles du Mur de la Bonté à Milan attaqués par des néo-nazis allemands en Ferrari et Lamborghini
NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna