Le seul véritable guide du marché de Lecce : celui « écrit » par Pantaleo Corvino

Le seul véritable guide du marché de Lecce : celui « écrit » par Pantaleo Corvino
Le seul véritable guide du marché de Lecce : celui « écrit » par Pantaleo Corvino

Comme Pantaleo Corvinonon loin d’un demi-siècle d’expérience dans la vente de football, recherché à l’occasion de son premier mercato estival depuis son retour en Serie A (c’était en septembre 2022) clarifier sont comment fonctionne le marché pour un club comme le Lecce. Des déclarations claires et impossibles à comprendre, que nous répétons dans leur intégralité car elles peuvent toujours être très utiles à cette période de l’année : « Croyez-moi, derrière chaque opération, et avec vous il n’y a pas besoin d’insister là-dessus, il y a bien d’autres opérations cachées pour arriver à celle que vous avez alors définie. Ou ce que vous voulez faire, et vous ne parvenez pas à le faire pour une raison ou une autre. Ainsi, derrière 135 opérations pour chacune d’elles terminée, il y en a quatre autres que vous suivez pour la finaliser. Je vous laisse, à vous et à votre imagination, ce qu’implique la réalisation d’une opération (…). En 700 jours, 49 joueurs sont arrivés en équipe première, 38 sont partis, pour un total de 87 opérations entre joueurs entrants et sortants ; 48 ont été réalisés avec le secteur jeunesse, dont 31 entrants et 17 sortants”.

Mots textuels prononcé par Pantaleo Corbeau lors d’une conférence de presse qui lève, peut-être une fois pour toutes, les doutes sur Modus operandi de Giallorossi sur le marché des transferts. Le calcul est simple et intuitif et donne une idée de combien complexe être l’univers de marché des transferts: pour chaque membre signé, Lecce a dû en négocier quatre autres, donc 80 (entre l’équipe première et le secteur jeunesse) pour il y a 5 400 footballeurs qui, d’une manière ou d’une autre, ont été traité en 700 jours, depuis son retour dans le Salento jusqu’en septembre 2022 (date des déclarations)

Une réponse impossible à mal comprendre et qui pourrait être rassurer ceux qui s’en soucient beaucoup de noms par rapport aux Giallorossi (pas tous, évidemment, réellement traités ou négociables), craignant peut-être qu’il n’y ait aucune possibilité de constituer une équipe à la hauteur. Rien de plus faux, simplement la normalité des choses (en traiter cinq pour en obtenir un) dans un contexte frénétique et des montagnes russes à quoi ressemble le marché des transferts pour tout le monde, notamment pour les petites et moyennes équipes.

Un dernier aspect important pour clôturer ceci résumé des directives qui l’expérience corvinienne nous l’a fourni ces derniers mois, relatif à l’axiome erroné et inexistant selon lequel Lecce ne recherche pas vraiment les noms qui circulent le plus dans l’orbite médiatique de Giallorossi. “On en parle trop, et quand on en parle autant, c’est parce que le réalisateur veut nous induire en erreur.” Oui et non. La raison est facile à dire et, comme toujours, réside dans l’expérience. Prenons par exemple le marché pour la Serie A 2022/23où annonce opérations de foudre comme Pongracic, Pezzella ou Bistrovic (ceux-là oui, les plans cachés typiques comme Corvino) ont été rejoints même par les plus élaboré et prolongé dans le temps négociations pour Falcone, Baschirotto, Colombo ou Di Francesco, qui ont duré plus longtemps et ont « abouti » bien avant leur officialisation. Ou repensez à Umtiti, dont beaucoup pensaient qu’il s’agissait d’une simple fiction car on en parlait simplement avec insistance, à la manière d’un feuilleton. Pas un 1+1 qui donnait 3 comme résultat, renversant la règle, mais simplement un règle qui n’existe pas. Signé Pantaleo Corvino.

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