Temps fou, allergies, Covid. À Ferrare, le nez et la gorge ressemblent à l’hiver La Nuova Ferrara

Temps fou, allergies, Covid. À Ferrare, le nez et la gorge ressemblent à l’hiver La Nuova Ferrara
Temps fou, allergies, Covid. À Ferrare, le nez et la gorge ressemblent à l’hiver La Nuova Ferrara

Ferrare Nez qui coule, gorge brûlante, mal de têtemême quelques lignes de fièvre. Ce sont les signaux de syndromes para-grippaux typiques de la période hivernale, mais que l’on rencontre fréquemment autour de Ferrare (au bureau, dans les magasins, dans les colonies de vacances) même pendant ces semaines. C’est la faute à la météo folle qui, même en plein été, interrompt les journées à 35 degrés avec des incursions d’air froid et laisse présager une climatisation “élevée”, sans parler des niveaux d’allergie favorisés par l’humidité : il y a ceux qui sont habitués à utiliser des pulvérisations nocturnes quelques fois par an, et on en est déjà à 20. Il y a aussi une autre variable que l’on a tendance à oublier, mais qui s’est encore fait sentir : la Covidsous des formes certes non létales mais insidieuses.

«Depuis quelques années, les pathologies bénignes du système respiratoire ne sont plus seulement un facteur saisonnier – souligne-t-il. Paola Nocenti, directeur des pharmacies publiques AFM – Cet été, il y a effectivement un climat qui les favorise, compte tenu des forts changements de température, et il faut en tenir compte. Tout comme il ne sert à rien de négliger un retour du Covid, avec les variants les plus récents qui ont fait grimper les cas de 20% au niveau national, ce qui accroît les risques.” Entre autres choses, on a l’impression que la diffusion ne ressort pas suffisamment des données, puisque très peu font des prélèvements et encore moins ceux qui se soumettent à des autotests (“ils sont aussi efficaces dans les nouvelles variantes” rassure Nocenti) puis s’inscrivent sur le FSE. En juin, par exemple, les prélèvements positifs enregistrés par la régie sanitaire de Ferrare n’étaient que de 19, contre une moyenne de 52 par mois pour tout le premier semestre.

La baisse générale de la garde est également démontrée par les dispositions de la loi : depuis hier, dans les salles d’attente et les zones de soins des établissements de santé, le port du masque n’est plus obligatoire, alors qu’il reste obligatoire en présence de patients fragiles et immunodéprimés. avec une suspicion d’infection à Covid actuellement ou avec des symptômes grippaux spécifiques. Hier, les directions des sociétés ASL et Sant’Anna ont pris des mesures pour informer les opérateurs, les notices destinées aux patients, qui dans plusieurs cas sont un peu datées, devront être mises à jour.

Sur le front du Covid, il convient de noter la tendance à ne plus vacciner, « disons que la disponibilité des doses est bien supérieure à la demande – conclut Nocenti – Les pharmacies municipales, compte tenu également des données de vaccination des particuliers, ne sont pas actuellement équipés pour offrir ce service, mais si cela s’avère opportun, nous sommes prêts à nous équiper.

Au-delà du risque d’infections, il existe le risque d’allergies : le bulletin pollinique de ces jours informe de la «présence d’importantes concentrations de pollens de graminées et de plantaginacées dans toute la région». Ce sont des plantes parmi les plus sensibilisantes, ce qui explique de nombreux éternuements et difficultés respiratoires. L

Stefano Ciervo

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