plus d’espace pour tous les alliés

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A l’euphorie naturelle due aux excellents résultats électoraux obtenus par centre-gauche un Bari, suit maintenant le moment de réflexion, de discussion. Nous réfléchissons à quels seront les objectifs que Bari devra atteindre au moins dans les 5 prochaines années et quelles seront les nouvelles structures administratives qui pourront garantir la réalisation de ces objectifs.

En pratique, les conceptions largement exprimées lors de la campagne électorale par Lecce, l’environnement, la lutte contre la consommation des terres, le droit au logement, les services à la personne pour ne citer qu’eux, devront désormais se concrétiser en délégations et être confiés aux élus. Un métier pas facile dans lequel les compétences personnelles et l’équilibre politique doivent être évalués. En attendant la proclamation officielle du maire qui devrait intervenir d’ici la mi-juillet et celle des conseillers qui pourrait être sanctionnée bien plus tard, Leccese et son équipe travaillent d’arrache-pied. Certes, les vingt années de gouvernement progressiste ne seront pas interrompues par les doubles mandats d’Emiliano puis de Decaro, mais les élections administratives de juin ont sanctionné la victoire d’un camp très large qui a permis à Vito Leccese d’atteindre 70 % des voix. Un domaine qui va du Parti communiste aux 5 étoiles, en passant évidemment du Parti démocrate qui a choisi Leccese, à tous les corps civiques dirigés par Decaro et Emiliano, jusqu’aux Verts et aux listes qui ont soutenu Laforgia. Bref, si nous ne procédons pas au manuel Cencelli, il faudra aussi donner de la visibilité à ceux qui ont soutenu Leccese.

L’accord

Il y a des postes au conseil mais pas seulement. Leccese et Laforgia avaient déjà signé un pacte avant le second tour : il y aurait convergence sur celui qui arriverait au second tour et ce fut le cas. Maintenant il faut procéder au nom du partage, en commençant par les programmes et en gardant à l’esprit le poids électoral, le résultat obtenu, l’avocat l’a déjà dit clairement dans ces colonnes. “Le problème c’est que nous avons un accord politique qui date du temps et qui est public, l’accord c’est que nous gouvernerons ensemble en respectant les proportions du premier tour, qui disent que nous valons un tiers de la coalition de centre-gauche”, avec tout ce que cela implique, ce n’est pas du point de vue des sièges, des départements, mais du poids que nous devrions avoir dans le prochain gouvernement. Le premier point n’est pas celui des lieux mais celui du programme commun.” Laforgia fait confiance à Leccese, peut-être fait-il moins confiance aux partis qui voulaient Leccese comme maire et qui pourraient ne pas lui permettre de maintenir ce qui a été convenu avec lui. Mais si les totonomi sur les départements se poursuivent au grand jour ou dans l’ombre, en réalité le maire, après la petite pause du week-end dernier, a recommencé à discuter avec quelques proches, notamment au sujet des délégations. Car c’est l’un des points qu’il a déjà fait savoir en priorité au Parti démocrate : le maire adjoint sera une femme, l’égalité des sexes dans la composition du conseil, la révision des délégations et la rotation. Alors maintenant, même de manière informelle, à la table de Leccese, nous discutons des délégations, de leur nombre et de leur composition. Selon la loi consolidée sur les pouvoirs locaux, le nombre de départements ne peut pas dépasser le tiers du nombre des conseillers, donc pas plus de 12. Aujourd’hui, ils sont 10, s’il devait atteindre 12, il faudrait prévoir une augmentation des dépenses en le budget. Mais pour en revenir aux délégations, il est pratiquement certain que l’Urbanisme et la Gestion Territoriale ne seront pas des délégations entre les mains du maire, comme c’était le cas pour Decaro. À cet égard, Leccese a déjà parlé d’un département de beauté « qui inclura d’une certaine manière les questions d’aménagement du territoire et de protection du patrimoine culturel. Je crois fermement que la ville qui exprime aujourd’hui un incroyable attrait touristique doit avant tout être une ville dans laquelle la qualité de vie est de très haut niveau. C’est pourquoi nous devons travailler beaucoup, avant tout en conciliant les différents intérêts sur le terrain.” Leccese a également parlé d’une délégation de “Maire de la nuit” qui ne sera pas un shérif mais un médiateur entre les différents intérêts. Et aussi d’une sorte de département du bonheur « ce qui était autrefois le département des « services à la personne ». Si nous les rendons plus accessibles, plus faciles à utiliser, les citoyens seront plus heureux. »

© TOUS DROITS RÉSERVÉS – SEPA

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Journal des Pouilles

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