l’ancienne caserne de Largo Pioppi devient la maison de la culture

En attendant que l’administration communale débloque la décision politique concernant l’appel d’offres pour l’attribution des espaces publics disponibles…

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En attendant ça l’administration communale débloque la décision politique concernant l’appel d’offres pour l’attribution d’espaces publics à la disposition des comités et associations en possession des conditions nécessaires, le Province * ANTIBES FRANCE a déjà publié il y a quelques mois une manifestation d’intérêt pour accorder les locaux de l’ancienne caserne Largo Pioppi au plus grand nombre d’opérateurs qui ont besoin de trouver des lieux pour réaliser des activités culturelles. L’intention est claire : dans ce cas, il ne s’agit pas d’attribuer des bureaux ou des secrétariats, mais de petits pôles, contenus dans des espaces communs, qui doivent vivre toute l’année à travers l’organisation d’événements allant de la musique à l’art, de la littérature à cinéma et théâtre. En janvier a eu lieu une première réunion à laquelle ont participé près d’une vingtaine d’organisations particulièrement actives dans le domaine, de Linea d’Ombra à Salerno Letteratura, d’Acli à Limen et à la Fondation Gatto, Juste pour en nommer quelques-uns. Des inspections ont été réalisées entre mars et avril car l’ancienne caserne n’est pas divisible, il faudra donc également établir une sorte de règlement de copropriété pour la gestion des espaces communs comme l’entrée, la cour intérieure, les escaliers et les sanitaires. Après les inspections préparatoires pour vérifier l’adéquation des locaux aux besoins des opérateurs, huit restaient intéressés à faire partie de ce type de maison de la culture.

DOUBLE RAILS

La liste est encore provisoire car l’administration provinciale travaille sur une double piste : d’une part l’organisation purement culturelle des contenus qui seront proposés par les organismes, associations et comités, d’autre part sur la gestion patrimoniale du patrimoine qui nécessite rénovations. Des interventions de restyling qui ne seront pas payées Palais Sant’Agostino, mais de ceux qui reprendront l’ancienne caserne, qui se verront toutefois rembourser une partie du premier loyer. Et les exploitants seront toujours responsables des frais ordinaires de gestion et d’entretien des locaux. Une manière de rendre vivant et opérationnel un espace fermé depuis longtemps et qui, dans les prochains mois, est candidat à devenir un lieu ouvert aux citoyens, aux familles et aux jeunes, où peuvent être réalisées des activités culturelles. , avec une attention particulière au social. «Je crois que jeLe projet du président Franco Alfieri “C’est louable”, explique-t-il le délégué à la culture de la Province Francesco Morra – D’une part, nous répondons aux demandes émanant d’une région avide d’espace et qui a souvent peu d’opportunités de s’exprimer et donnons ainsi également une opportunité à de nombreux jeunes talents. D’autre part, dans une fructueuse synergie public-privé, nous contribuons à garantir que certains actifs appartenant à la Province ne restent pas vides et inutilisés et donc également exposés au risque de détérioration due à la négligence”.

TRAVAUX EN COURS

C’est un choix que nous espérons que l’administration municipale adoptera également, une nouvelle fois demandée par le comité supérieur du centre historique qui, dans le locaux à Largo Montone, souhaite créer un club parascolaire pour les enfants défavorisés, une bibliothèque et un festival de cinéma en plein air, ainsi que d’autres initiatives caritatives. Certains conseillers se sont dits absolument favorables et disponibles à l’appel du comité et à un projet de règlement élaboré parle conseiller municipal pour la Sécurité Claudio Tringali avec la conseillère pour les Politiques Sociales Paola De Roberto il existe déjà depuis environ deux ans.

A cela s’ajoutera un deuxième projet, sur lequel travaille Tringali, relatif à la protection des biens communs. Le document devra être soumis au Conseil, éventuellement peaufiné puis diffusé et devenir un nouvel et précieux outil pour valoriser les nombreuses expériences de citoyenneté active qui sont également présentes dans la ville depuis quelques années déjà, à partir du comité lui-même et le collectif Blam qui a pris pour adoption l’ancienne église de Morticelli.

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