«Une table dans la Région pour aider la pêche. Il est prématuré de demander un état de calamité”

Francesco Acquaroli, gouverneur de la Région des Marches : le problème du mucilage serre nos côtes. Le secteur de la pêche appelle à l’état de calamité…

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Francesco Acquaroli, gouverneur de la Région des Marches : le problème du mucilage serre nos côtes. Le secteur de la pêche demande l’état de catastrophe naturelle : comptez-vous présenter la demande au Gouvernement ?

«Pour le moment, c’est prématuré. Avant de demander un état de calamité, nous devons comprendre s’il existe des extrêmes. »

Viens?

«Précisément pour comprendre quelle pourrait être la meilleure solution, nous avons abordé la question la semaine dernière au conseil et nous avons convoqué une table régionale avec les catégories de pêche pour vendredi prochain. Avant de choisir un chemin, il faut disposer de données précises.”

Craignez-vous que votre demande ne soit pas acceptée ?

« L’état de calamité a des paramètres très précis : avant de le demander, il faut effectuer une reconnaissance détaillée pour comprendre s’il peut être reconnu ou non. Un peu comme ce qui s’est passé avec le crabe bleu.”

Un autre problème critique auquel le secteur de la pêche, harcelé, a dû faire face.

« Le thème est justement celui-ci : il pleut quand il pleut. Le secteur de la pêche a déjà dû faire face à des problèmes importants. C’est pourquoi nous souhaitons leur apporter des réponses rapides et correctes. Et la table régionale que nous avons convoquée avec la conseillère pour les Activités Productives et la Pêche Andrea Maria Antonini a cet objectif.”

Outre la pêche, un autre secteur qui subit les répercussions de la présence de mucilage est le tourisme : avez-vous prévu des interventions ?

«Le problème du mucilage se stratifie à trois niveaux : environnemental, activités productives et tourisme. Nous analysons le phénomène d’un point de vue technique. L’une des causes de leur apparition en si grande quantité est la mer calme. Pour donner des réponses correctes aux secteurs en difficulté, nous procédons à des évaluations à 360 degrés et la table régionale nous permettra de coordonner les solutions”.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Courrier Adriatique

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